Désolé mais dans le monde du datacenter, on arrive très bien a gérer des fermes optiques de plusieurs milliers de connexions aléatoires, je ne vois pas pourquoi ça ne serait pas possible dans un PMGC. Le souci ce n'est pas le concept mais bien les intervenants et les process. Idem pour les fermes cuivre des NRA.
J ai lu cela plus haut Mais dans un DATACENTER aucune FIBRE ABONNE n' arrive il me semble
il faut passer par un FAI puis un fournisseur de service et on arrive dans les datacenter !!!!!!
Oui, on est d'accord, mais je crois que tu as mal compris le message. Ici la personne faisait la comparaison entre du brassage fibre en datacenter et du brassage fibre en FTTH, rien de plus.
Mais côté temps d'intervention, salaire, motivation des équipes, ce sont 2 mondes complètement différents.
Les opérateurs ont voulu
- à juste titre instaurer le mode STOC, que je trouve très pertinent.
- pour réduire les couts, et suivre la cadence, sous traiter les raccordements en mode "ubérisation" / paiement à la tâche, souvent sans vérification des compétences.
La somme des 2 fonctionne franchement assez mal.
Je trouve la comparaison avec les NRA cuivre très très pertinente, personnellement. Les erreurs de câblage et les dégradations dans les NRA étaient quand même très rares, même avec des changements d'opérateur ADSL réguliers.
Mais pour moi, le gros désavantage des PMGC, c'est qu'ils ne font pas profiter du gros avantage des technologies PON : la mutualisation d'une fibre pour plusieurs dizaines d'abonnés. Pour profiter du gain de place dans les infrastructure, il faut que les splitters optiques soient proches des abonnés sur le terrain.
On le voit dans d'autres pays qui veulent faire du FTTH en infrastructure P2P, ça nécessite d'énormes quantité de génie civil.
Je trouve personnellement que le choix des PM de 300/500 lignes en France, c'est un très bon choix.
Leon.