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télécom TV et codecs / TVradioZap
« Dernier message par trekker92 le Hier à 22:23:46 »
Tant de mépris des autres, c'est dingue quand même, ça va les chevilles ?

après, s'il peut le prouver..

ca arrive régulièrement que des équipes "compétentes" se mangent sur un ou deux exemples de cas pratiques et repartent avec la grise mine... le secteur des telcos n'est en rien épargné.
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Voici un article de The Register du 17 mai 2024 sur le sujet, traduit rapidement de l'Anglais :

Apple géolocalise le fonctionnement du moteur de navigateur tiers pour les appareils de l'UE

Les développeurs de navigateurs concurrents doivent disposer d'un personnel basé en Europe pour créer et tester leur navigateur iPhone sans WebKit.

L'accommodement exclusif d'Apple à la loi européenne – autorisant les moteurs de navigateur tiers sur ses appareils mobiles – s'accompagne apparemment d'une restriction qui rend difficile le développement et la prise en charge de moteurs de navigateur tiers pour la région.

The Register a appris qu'Apple avait limité le développement et les tests de moteurs de navigateur tiers aux appareils physiquement situés dans l'Union européenne. Cette exigence ajoute un obstacle supplémentaire à toute personne envisageant de développer et de prendre en charge un navigateur doté d’un moteur alternatif dans l’UE.

Il géolocalise efficacement l’équipe de développement. Les créateurs de navigateurs dont les équipes de développement sont situées aux États-Unis ne pourront travailler que sur des simulateurs. Bien que certains tests puissent être effectués dans un simulateur, rien ne remplace les tests sur iPhone, ce qui signifie que les développeurs devront travailler dans les limites géographiques prescrites par Apple.

Avant iOS 17.4, Apple exigeait que tous les navigateurs Web sur iOS ou iPadOS utilisent le moteur de rendu WebKit d'Apple. Les alternatives telles que Gecko (utilisé par Mozilla Firefox) ou Blink (utilisé par Google et d'autres navigateurs basés sur Chromium) n'étaient pas autorisées. Quelle que soit la marque de navigateur que vous pensiez utiliser sur votre iPhone, sous le capot, il s'agissait essentiellement de Safari.

Les fabricants de navigateurs s'y opposent depuis des années, car cela limite la différenciation concurrentielle et réduit l'incitation des propriétaires d'Apple à utiliser des navigateurs non Safari.

La désignation d'Apple en vertu de la loi européenne sur les marchés numériques (DMA) en tant que gardien de l'App Store, d'iOS, de Safari et, tout récemment, d'iPadOS a forcé Cupertino à faire des concessions.

L’une de ces allocations – réalisée dans iOS 17.4 – consistait à permettre aux applications iOS (et par la suite iPadOS) dans l’UE d’utiliser des moteurs de navigateur alternatifs.

Mais les concurrents se sont plaints du fait que les concessions d'Apple sont conçues – comme le dit Mozilla – pour rendre « aussi pénible que possible pour les autres de proposer des alternatives compétitives à Safari ».

Cela se voit dans la longue liste d'exigences d'Apple pour proposer un moteur de navigateur tiers sur iOS dans l'UE.

Parisa Tabriz, vice-présidente de l'ingénierie et directrice générale de Chrome chez Google, a rejeté les changements de règles d'Apple plus tôt cette année. "Apple ne prend pas vraiment en charge le choix du navigateur Web ou du moteur sur iOS", a écrit Tabriz en février. "Leur stratégie est trop restrictive et ne mènera pas de manière significative à un véritable choix pour les développeurs de navigateurs."

Lorsqu'Apple a annoncé son intention d'apporter des modifications en réponse au DMA en janvier, les développeurs ont exprimé leur inquiétude quant au fait que la prise en charge d'un navigateur européen distinct pourrait poser un problème. Et ces inquiétudes persistent.

"Les termes du contrat sont dingues et presque aucun fournisseur à ma connaissance ne les acceptera", a déploré un vétéran de l'industrie familier avec la fabrication de navigateurs en réponse à une demande de The Register.

"Même ceux qui ont signé quelque chose pour pouvoir réaliser des prototypes ne peuvent pas expédier sous les contraintes qu'Apple tente d'imposer. Elles sont si larges et si radicales qu'elles tentent d'esquiver la majeure partie du DMA par contrat… ce qui est certainement audacieux."

En mars, la Commission européenne a ouvert une enquête sur Apple, car elle craignait que les règles de « pilotage » et l'écran de choix du navigateur de Cupertino ne répondent pas aux exigences du DMA.

"En empêchant les ingénieurs navigateurs du monde entier de travailler sur leurs vrais navigateurs à moins qu'ils ne soient physiquement situés dans l'UE, Apple les empêche d'être compétitifs ou peut-être même de livrer sur iOS", a déclaré Alex Moore, directeur exécutif d'Open Web Advocacy, dans une note à The Register.

"C'est clairement absurde, n'a aucune justification raisonnable et ne peut être décrit que comme une conformité malveillante. Pour illustrer un scénario plausible, imaginez que vous êtes un éditeur de navigateur et que vous avez un problème de sécurité, mais que votre principal expert sur ce type de vulnérabilité se trouve aux États-Unis. Doit-il prendre l’avion pour l’UE afin de pouvoir tester et corriger sur un appareil réel ?"

"Au minimum, Apple devrait indiquer qu'il s'agit d'un malentendu et que les appareils de test des fournisseurs de navigateurs en sont exemptés."

Interrogé sur la géolocalisation des appareils à des fins de développement par Apple, un porte-parole d'Opera a répondu qu'il n'avait pas entendu parler du problème – mais ce n'est pas surprenant étant donné que l'organisation a son siège dans l'UE.

Jon von Tetzchner, PDG de Vivaldi, a également admis qu'il n'avait pas entendu parler de cette exigence. "Notre équipe de développement est entièrement basée dans l'EEE – principalement en Norvège et en Islande – donc je suppose que cela ne s'appliquerait pas à nous", a-t-il expliqué. "Mais encore une fois, je ne vois pas comment ils pourraient avoir une règle comme celle-là.

"Je pense que cela serait considéré comme une nouvelle mesure anticoncurrentielle", a-t-il ajouté.

"L'équipe [d'Apple] est aux États-Unis, tout comme les équipes de Microsoft, Google, Mozilla et la plupart des autres grandes sociétés de navigateurs."

Google et Mozilla n'ont pas immédiatement répondu aux demandes de commentaires. Apple non plus – ce qui est rarement le cas.

Mozilla et Google ont exploré des versions de Firefox et Chrome pour iOS basées sur des moteurs non-WebKit, mais n'ont encore rien publié. Les utilisateurs de Firefox ont demandés une version de Firefox basée sur Gecko pour iOS, mais n'ont pas encore reçu d'engagement de publication.


Source : The Register, le 17 mai 2024 (l'article est en anglais)[/size]
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Free Mobile Actu Free Mobile / Fin de la 3G sur bande 2100MHz de Free Mobile
« Dernier message par trekker92 le Hier à 22:20:09 »
La 3G existait largement avant que la 4G "sévisse", et Free en 2012 a pris ce qu'il y avait de pas trop cher pour faire le taf, uniquement en 3G.
La 4G est apparue en France en 2016, et si je ne me trompe, la règlementation a changé ensuite pas qu'une fois pour que le refarming soit possible. Avant, super compliqué...

lyon, 2013, "première ville" couverte en 4G par Orange
la meme année, toute la france est couverte par byg avec leur petite "tricherie"
Citer
Le 1 octobre 2013, Bouygues Telecom ouvre son réseau 4G grâce à la réutilisation de sa bande de fréquence 2G 1800 MHz. L'opérateur annonce couvrir 63% de la population sur 100 villes22,23, ce qui en fait le premier réseau 4G d'envergure nationale en France.
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Free Mobile Actu Free Mobile / Fin de la 3G sur bande 2100MHz de Free Mobile
« Dernier message par fansat70 le Hier à 22:14:27 »
Ça parait étonnant que Free se soit lancé avec du matos 2G/3G only... Et qu'il y ait autant de sites dans cette configuration.
La 3G existait largement avant que la 4G "sévisse", et Free en 2012 a pris ce qu'il y avait de pas trop cher pour faire le taf, uniquement en 3G.
La 4G est apparue en France en 2016, et si je ne me trompe, la règlementation a changé ensuite pas qu'une fois pour que le refarming soit possible. Avant, super compliqué...
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iPhone : À quand un navigateur avec un moteur de rendu autre que WebKit ?

Avec iOS 17.4, Apple a été obligé par le DMA d'ouvrir la possibilité d'avoir autre chose que Safari en navigateur sur iPhone et iPad.

Aujourd'hui, si vous utilisez Chrome sur iPhone, ce n'est pas le moteur de rendu Blink qui est utilisé (Blink est le moteur de rendu de tous les navigateurs basés sur Chromium).
Si vous utilisez Firefox sur iPhone, c'est ne pas le moteur de rendu Gecko qui est utilisé.

C'est quoi un moteur de trendu ? C'est le cœur d'un navigateur web. Il permet d'afficher une page web : il transforme un document HTML, ainsi que toutes les autres ressources associées à la page, en une représentation visuelle interactive pour l'utilisateur.

Jusqu'à iOS 17.4, le moteur de rendu sur iPhone et iPad est imposé par Apple : c'est Webkit, celui de Safari.
C'est ce qui explique qu'avant iOS 17.4 Chrome ou Firefox ne pouvaient pas lire les vidéos VP9 sur iPhone.
En fait Chrome et Firefox sur iOS, c'est Safari avec l'outil qui permet de récupérer les marque page de votre navigateur. Il y a juste l'aspect cosmétique qui change, le moteur, c'est celui de Safari.


Alors cela va changer avec le règlement sur les marchés numériques (DMA) ?

La réponse est malheureusement non.

Officiellement, Apple a ouvert la possibilité d'avoir enfin une concurrence de navigateurs sur iOS, mais avec une limitation importante : uniquement en Europe.

Avoir un vrai Chrome ou un Firefox sur iPhone imposerait deux choses :
- Avoir une version du navigateur complétement différente poru l'europe vs le reste du monde
- Avoir les équipes de développement en Europe, car il est impossible de faire ce développement hors de l'Europe.

Bref, les conditions actuelles, c'est une mauvaise blague d'Apple...
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donc c’est juste l affichage qui est dans les choux

y a pas d erreur en elle même
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Free Incidents Free / Probleme étrange suite a récéption Module Sfp+ rj45
« Dernier message par fansat70 le Hier à 22:03:46 »
Pas des erreurs, mais seulement des affichages erronés?
Car -1, c'est soit que l'interface d'affichage ne sait pas faire, soit un nombre d'erreurs infini... Dans ce dernier cas, le débit serait proche de zéro, et comme ce n'est pas le cas, on peut peut-être en conclure que c'est l'affichage qui est foireux, non?
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Comme pour le carburant, les baisses se font attendre pour les particuliers. J'espère que cette baisse va être répercuter rapidement.  :)

C'est vrai que ces prix négatifs, ou très bas, en journée, vont inciter les consommateurs à réclamer leur part dans cette baisse. Alors que les prix depuis plusieurs années ont beaucoup augmenter. Ce qui va bien embêter EDF, qui a d'une part à se refaire de son énorme perte de 17.9 milliards d'euros en 2022, l'Etat lui ayant fait porter le poids du bouclier tarifaire, avant de la nationaliser, financer son énorme dette de 54 milliards d'euros, qu'il a réduite de 10 milliards d'euros grâce à son bénéfice du même montant en 2023. Il doit aussi financer le grand carénage des réacteurs qui arrivent à 40 ans, 70 milliards d'euros, et financer les nouveaux EPR, 70 milliards aussi. Et avec la concurrence des fournisseurs alternatifs, qui vont recommencer à pouvoir acheter des lots d'électricité à pas cher...

En tout cas, selon les Echos, la Commission de Régulation de l'Energie (CRE) aurait demander à Enedis de revoir la programmation des heures creuses, pour la faire porter de la nuit, traditionnellement où il y avait une moindre consommation, vers la journée, 10h-17h, là où se situe la pointe de la production du solaire. Mais c'est vrai surtout en été, beaucoup moins en hiver.

Electricité : vers la révolution des « heures creuses »

La Commission de régulation de l'énergie engage Enedis à remettre à plat le maquis des « heures creuses » dans les grilles tarifaires. Plus incitatives pour déplacer les consommations des ménages, elles devront aussi coller aux heures de pic de production solaire qui perturbent de plus en plus les marchés en Europe.

Par Sharon Wajsbrot - Publié le 17 mai 2024 à 06:02Mis à jour le 17 mai 2024 à 06:03

Faire tourner sa machine à laver ou brancher son véhicule électrique la nuit risque bientôt de ne plus être un gage d'économies pour les ménages.

Confronté à une croissance inédite du solaire photovoltaïque et aussi des montants à déployer pour financer les investissements dans les réseaux, la Commission de régulation de l'énergie (CRE) a demandé à Enedis d'engager un vaste chantier : la remise à plat du régime des « heures pleines, heures creuses ».

Le solaire change la donne

Utilisés par 15 millions de Français, ces prix préférentiels de l'électron, accessibles avec un tarif réglementé de l'électricité ou sans, permettent en théorie de faire baisser sa facture lorsque les consommations sont concentrées aux heures les moins tendues sur le réseau électrique national.

Mais voilà, ce système, conçu à l'origine pour mettre à profit l'électricité nucléaire très abondante pendant la nuit - l'industrie étant souvent à l'arrêt -, est désormais largement en décalage avec la nouvelle réalité du marché.

Les réacteurs nucléaires s'ajustent quasiment systématiquement à la demande d'électricité désormais et c'est la production solaire, très abondante en début d'après midi, qui est compliquée à évacuer. En atteste l'occurrence de plus en plus régulière des prix négatifs sur les marchés , comme le week-end du 11 mai en France ou ailleurs en Europe.

« On a tous appris que l'électricité était moins chère la nuit mais le photovoltaïque qui arrive de façon très abondante en Europe crée un changement de rythme dans le système électrique tout entier », résume Yannick Jacquemart, directeur nouvelles flexibilités chez RTE, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité.

Des tarifs peu lisibles

Ces « heures creuses » sont en outre souvent peu lisibles pour les consommateurs. Chez Enedis, dix régimes de tarification différents cohabitent, avec parfois des plages de huit heures creuses consécutives pendant la nuit et parfois des plages discontinues la nuit et le jour…

Surtout, ces heures « discountées » ne sont pas assez incitatives pour provoquer un décalage massif des consommations des ménages. Or, prendre de telles habitudes risque de devenir critique si l'on veut éviter une flambée des pics de consommation électrique dans les années à venir, avec l'essor attendu des voitures individuelles électriques, des pompes à chaleur, etc.

Ces dernières années, l'évolution des prix de l'électricité a parfois créé des situations où les clients devaient concentrer 50 à 60 % de leurs consommations pendant ces heures « creuses » pour obtenir un rabais sur leur facture. « Désormais, on est revenu à un niveau de 30 % mais on aimerait stabiliser ce seuil », explique-t-on, au sein du régulateur de l'énergie.


https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/electricite-vers-la-revolution-des-heures-creuses-2095345
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Bonjours bonsoir je viens de recevoir mon module Free Sfp+ Rj45  et j ai un souci enfin je pense avoir un problème

quand je regarde sur le sfp via la box j ai cette information

et quand je regarde les statistique du port sfp+  j ai des erreurs pourtant les débits sont bon
60
bonjour TL91700

la bande 6ghz ne s'active que si un peripherique est compatible.

la bande 2.4 et 6ghz sont lié si vous séparer les bande de frequence (2.4-6ghz) de la (5ghz), il suffit alors de se connecter a la bande 2.4ghz pour basculez sur la 6ghz a condition que vôtre equipement soit compatible wifi 6 E

wifi6 --->utilise la bande de frequence 5ghz
Wifi6 E---> utilise la bande de frequence 6ghz
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