Moi, j'aimerais juste comprendre comment va être gérée l'histoire.
On produit au niveau de la centrale, puis on transporte jusqu'aux clients, entre temps, on passe par différents transformateurs de très haute tension, à moyenne tension, pour en finir à la basse tension.
La "granularité fine", se fait au dernier transformateur de zone, et là je suppose que c'est par zone géographiqe, et non par type de consommateurs, ou alors il faudrait répartir les transformateurs de l'acheminement du dernier kilomètre ceux de la basse tension par type de consommateurs, et je ne pense pas que ce soit le cas, mais à ce sujet je peux me tromper, peut être que il existe des transformateurs dédiés à des typologies de clients.
Si les transformateurs du dernier kilomètre sont critiques pour le client, il demande à avoir une double adduction, et c'est de la responsabilité du client d'assurer que l'électricité puisse lui être acheminée par deux chemins différent. Par contre, c'est de la responsabilité des opérateurs et de l'état de fournir et acheminer l'électricité jusqu'au consommateur.
Pour les consommateurs particuliers, ils ont une vague notion du fonctionnement, et même à la lecture içi de certains commentaires, quand je vois que certains veulent écrêter la consommation (ou proposer des délestages ou effacement aux particuliers), c'est faire porter la responsabilité de choix politiques aux consommateurs.
Et maintenant je vais mettre les pieds bien dans le plat, parce qu'il faut arrêter de se voiler la face, on récolte ce que l'on sème :
On veux être solidaire des Ukrainiens ou de l'OTAN dans leurs discours va en guerre, continuer de fournir des armes que les destructions et guerres , c'est très bien, mais si c'est sur les territoires des autres. Tant que chez nous on a notre petit confort et que l'on ne veux pas de coupure, eux sur leur territoire, c'est quotidien.
On imagine que les dégâts, c'est unilatéral et chez les autres. Et bien c'est faux, on subit les conséquences des erreurs passées.
Et la France, sur ce dossier est loin d'être exemptée de responsabilités. Elle a été au nom de belles idées médiatiques instigatrice de conflits chez les autres, l'effet boomerang, cela reviens par d'autres paramètres chez elle. Ces idées de nationalisme, de souveraineté, vont à l'encontre même de la collaboration pour résoudre les problèmes.
Là il n'y a pas de solution à ce problème de coupure de manière franco-française.
La production est de manière globale piloté au niveau Européen, il y a une partie carbonée, et les alarmistes écologistes climatiques ont un droit de parole résonnant plus à la communication de l'opinion publique, que celle des scientifiques membres des académies des sciences.
Etre membre des académies des sciences, ce n'est pas un titre honorifique décerné au dernier clampin venu, et bien aujourd'hui, on écoute moins leur paroles, que celles des instituts de sondage de l'opinion publique, forgé par les communications des médias.
L'audition par le parlement des dirigeants du CEA est édifiante à cet égard.