Ecoutez, mes chers amis, chers compatriotes, je serai bref. Hors de question, dans la conjoncture actuelle de psychose pandémique, bientôt endémique, holala ça pique, de tergiverser, de démissionner devant les obligations, devant les échéances nécessaires à l'accomplissement du renouvellement perpétuel de la persistance continue, à savoir vaincre les défis qui sont les nôtres, terrasser les vieux démons qui nous brident les ailes, et ainsi libérer les trames sibyllines de l'interopérabilité.
Comme vous le savez, et vous me connaissez, j'irai droit au but, car, comme vous n'êtes pas sans le savoir, et mes états de services parlent pour moi même, je ne suis, je le répète encore, ni pour, ni contre, mais bien au contraire.
Une fois que tout sera dit, que d'aucun auront souligné, d'autres au contraire se seront gaussés, voire, qui sait, auront ironisé quand la vraie teneur de l'éthique de mon propos, et des valeurs séculaires qu'il défend, âprement, avec toute la vigueur que vous me connaissez, sans aucun relâchement, sans aucun renâclement, sans aucune forfaiture, et, pour tout dire, avec tout le courage, toute la bravoure, toute la témérité que vous me connaissez, l'histoire dira seule, alors, qui, de nous ou des autres, oui, les autres, qui de nous aura le dernier mot.
J'entends déjà, dans les rangs de l'assistance, certains s'offusquer, prêter l'oreille aux complaisances, aux travers faciles des twittos, des courroux haineux, sous le couvert de l'anonymat supposé des réseaux, mais je dis non.
Non, non, mes amis, parce que, justement, oui.
Et je dis oui, certes, mais sans arrière pensée. Sans jamais démissionner de la mission que vous m'avez confiée, car, gardez le à l'esprit, la victoire est au bout !
Voilà les logs.