C'est strictement impossible pour un fabriquant d'ordinateur d'assurer le support d'un logiciel qui n'est pas le sien et ils vont jouer là-dessus ... (et ils auraient raison.)
Si cette proposition était adoptée, le fabricant d'ordinateur demanderait à Microsoft de s'assurer qu'il propose des mises à jour pendant 12 ans (si un ordinateur est commercialisé durant 2 ans, il faut un support de 12 ans, car le chronomètre dès 10 ans ne démarra qu'à la fin de commercialisation).
Microsoft devrait également devoir le faire pour ses propres PC (ex: Surface).
Jusqu'à présent, Microsoft était bon et proposait des mises à jour durant de nombreuses années. De vieux PC sous Windows 7 sont passés à Windows 10 (pré-requis matériel : Pentium 4, 1 Go de ram).
Tout a changé avec Windows 11, qui a mis des prérequis élevés en termes de CPU qui font, que certains ordinateurs étaient encore commercialisés il y a 3 ans (Intel Core de 7ᵉ génération) ne peuvent pas avoir de mise à jour vers Windows 11 et auront une durée totale de 4 ans de support gratuit de Windows.
Dans de nombreuses entreprises (et c'est le cas à l'Arcep), la solution, c'est de changer ces PC Core de 7ᵉ génération ou plus ancien qui fonctionnent encore bien pour des taches bureautiques (8 Go RAM, SSD).