Le service est fermé sauf aux clients Free, ça aussi pose question.
Cela ne pose question que pour le contenu aujourd'hui uploadé.
On peut penser que les délinquants n’utilisent pas une IP Free pour upoader le contenu (ils seraient rapidement retrouvés) mais utilisent un VPN.
Cela ferme donc la possibilité d'avoir de nouveau type de contenu uploadé.
près de la moitié du matériel pédopornographique mondial était « hébergé physiquement » et téléchargé à l’aide des services de télécommunications de Free.
Il y a tout de même un sacré problème pour en arriver à ce stade !
En phase, c'est vraiment énorme.
Le risque de bad buzz est important, si la fiabilité de l'information est confirmée.