La question à se poser, est jusqu'à quand va durer cette "mascarade", si j'ose dire.
Se repose de nouveau la question des masques FFP2, et c'est un sempiternel recommencement.
Nous sommes entrés dans une boucle collective de restrictions mondiales à l'annonce de chaque nouveau variant.
Et on ne voit pas une lueur de sortie de crise, parce qu'à chaque variant, et ils apparaitront, c'est inéluctable, on remets à l'ordre du jour les mêmes restrictions.
Il va vite devenir inacceptable par l'opinion publique d'avoir un vaccin, ou une dose de rappel tous les 6 mois.
Il va arriver un moment, ou comme pour les morts d'accident de la route, il arrivera un taux incompressible de décès, et il faudra bien accepter que les décès sont l'aboutissement des vies, il y a comme une inacceptation de cette échéance, pourtant tous nous sommes conscient que c'est inéluctable pour nous même.
Tant qu'il n'existait pas de vaccin, il était légitime de forcer les individus à protéger les autres et eux mêmes par des restrictions collectives et individuelles. Maintenant qu'il en existe un, il est du ressort et de la responsabilité de chacun, de faire ce qui semble nécessaire à chacun, dans le cadre de ses propres croyances.
Restreindre, les libertés collectives et individuelles par des états en instaurant des mesures contraignantes, il faut s'interroger jusqu'à où on est en mesure de les accepter.
Venir devant le Parlement défendre ces mesures, on se demande pourquoi, si le gouvernement annonce ces mesures avant de consulter le parlement, après un conseil de défense ou conseil scientifique, c'est avec les lois sous ordonnances, un dévoiement d'un régime parlementaire.