La découverte d’un cancer n’embolise pas les services de réanimation.
En fait au bout de quasi deux ans tu n’as toujours pas compris la problématique de cette crise sanitaire.
J'ai bien peur que la crise sanitaire, ne soit que la face émergée de l' Iceberg, c'est un conflit entre l'OMS, son financement, les Pays, les systèmes de santé de ces pays, le fond du problème arrive aujourd'hui, il a été implicitement ouvert lors de la mise en cause du système de santé Américain avec l' Obhama Care et son détricotage par Trump, le refus des US de continuer à la contribution de certains organes de l' ONU.
Cela ouvre le débat aujourd'hui sur les systèmes de santé des pays et les modèles de chaque pays, couverture universelle versus assurances privées.
Financement de la recherche par des institus privés ou publics, au sein des Universités ou laboratoires pharmaceutiques privés.
On savait que cette pandémie n'était pas catastrophique pour l' Humanité 3% de morts, on déplore les morts évidement, rien en comparaison dans l' histoire avec la Peste ou le Choléra.
Cela a mis en exergue les faiblesses des systèmes de santé mondiaux, les politiques de santé publiques de chaque pays et de leurs modèles de prise en charge des malades, les politiques de recherche sur de nouveaux traitements, la capacité de mise en oeuvre de ces traitements. leur implémentation dans les pays. La disparité entre les différents pays, les alliances pour faire face ensembles ou individuellement au problème.
On a vu les politiques de sauve qui peut, chacun pour soi, individuelles et générales, ces peurs viscérales d'un virus inconnu, potentiellement dangereux pour ceux qui n'y connaissent pas grand chose.
On a vu des politiques émotionnelle de replis des pays, des sentiments autarciques, et on continue d'observer ces discours de "Souveraineté".
Le fond du problème était et est toujours, les moyens mis en oeuvre dans le système de santé des pays, les modèles choisis.
La feuille de route d'ouverture et fermeture des Hôpitaux Français a été, la même que les discours populistes actuels, de rationalisation des hôpitaux publics et calquer leur modèle de rentabilité sur celui du privé.
De nouveau les mêmes rengaines de déficit publics, pour les prochaines élections, les même nationalismes et rejets, politique d'immigration, baisse des effectifs de fonctionnaires, rien de bien nouveau.L'hôpital va mal, il a tenu, si d'autres pays demande l'aide de la France pour accueillir des malades au sein de l' UE, il tiendra encore, jusqu'a ce qu'il ne tienne plus et que les cadavres jonchent les rues.
Un modèle à l'Américaine, ou chacun prends un service d'assurance santé privé à la carte ou à la Française, celui que nous connaissons.
Le " quoi qu'il en coûte" n'était pas un slogan, c'est une réalité dans les déficits de la Sécurité Sociale, la France l'assume et le paye.