Le protocole éducation nationale, renforcé en octobre, prévoyait juste 15 minutes d'aération toutes les 2 heures, largement insuffisant.
De plus, sans capteur, impossible de savoir quand il est réellement nécessaire de ventiler.
Un capteur coûte quelques dizaines d'euros, à l'échelle d'un établissement scolaire : c'est un coût dérisoire.