Je cite :" Si le confinement des premières semaines a été salutaire pour organiser la prise en charge hospitalière de nos malades, il faut désormais mettre fin à cette médecine sanitaire préventive de groupe qui paralyse la France entière. Empêcher un virus de circuler est une illusion, écrit le professeur Alexandre Carpentier. Plus de 60 % de la population sera atteinte, quel que soit le niveau de coercition."
"A Manaus, la plus grande ville de l'Amazonie, brutalement touchée par le Covid-19, les chercheurs affirment que le coronavirus est à court de personnes à infecter. Leur étude estime que 66 % des habitants posséderaient désormais des anticorps."
Dans l'imaginaire collectif, tous se protègent ou souhaitent protéger les autres en évitant d'attraper le virus, et toutes les mesures vont dans ce sens.
Je pose une question, sommes nous certains que nous ne finirons pas, par tous l'avoir, a plus ou moins courte ou longue échéance ?
On mets en œuvre des mesures consistant a ralentir la propagation, pas a la stopper, c'est impossible sans traitement.
Cela reviens a dire, on ne veux pas de morts de cette maladie, on accepte des morts naturelles d'autres maladies, mais pas de celle la.
On est revenu a un mode d'obscurantisme digne du moyen âge, on attends la mise en œuvre d'un hypothétique vaccin ou d'un traitement aux beta-coronavirus, dans cette attente, on prive de toute libertés fondamentales, et le peuple, sous la terreur de l'ignorance accepte cette privation de libertés.
La mort de nos êtres chers est un vrai cataclysme personnel, elle est cependant inéluctable, comme notre propre mort.
Empêcher de vivre parce que d'autres vont mourir, c'est empêcher la vie de se poursuivre.La question n'est pas a l'encontre de ne pas proteger les plus fragiles, personne ne peux dire le contraire, la question est jusqu'ou sommes nous prêts a aliéner nos libertés ?