Merci Marco Polo. En fait, j'essaye de sortir de l'hystérie collective qui règne chez beaucoup au sujet de cette épidémie de Covid-19, en apportant des informations objectives. De son côté, Thornhill le fait aussi, mais dans une connotation plutôt d'inquiétude.
En ce qui concerne la définition de seconde vague, je fais référence aux simulations que l'on a vues ici même, où une première vague était suivie d'une seconde, montant un peu moins haut, mais aussi limitée dans le temps par un nouveau confinement, puis d'une troisième...
Il a été souligné par beaucoup qu'il y avait un faible pourcentage de personnes ayant été infectées, guéries et immunisées (10-12% ?), et donc que l'on était loin de l'immunité collective. Les mêmes causes produisant les mêmes effets (la simulation mathématique est la même), on devrait avoir un nouveau pic, pas un fond diffus. Ce n'est pas le cas, après certains vont invoquer le lavage des mains et le port des masques, j'y crois moyen, je pense plutôt, comme cela est le cas pour d'autres épidémies (grippe mais aussi autres coronavirus), que le sars-cov2 se propage moins dans les zones tempérées en été. Mais donc que l'on risque de le retrouver le prochain hiver ou fin d'automne.
La diffusion de l'épidémie, qui est d'abord allé d'Est vers Ouest, et qui va maintenant vers les pays du Sud va plutôt dans ce sens. Ce n'est pas mon opinion, c'est une hypothèse qui a toujours été évoquée par les épidmiologues, même si ce n'est pas une règle générale, et qu'avec un nouveau virus, il faut se méfier tant que l'on n'a pas l'expérience de son comportement.
Mais donc à force de crier au loup, sans rien voir venir, d'imposer de nouvelles règles, port du masque dans tous les lieux publics clôts en plein été, on risque de fatiguer les gens, et que si rien ne vient, on risque d'avoir un relâchement dans quelques mois, à l'arrivée de l'hiver, où le risque sera plus important.
Personnellement, je ne pense pas que le port du masque dans un magasin où il y a 3 ou 4 personnes, à plusieurs mètres de distance, soit indispensable. Dans les magasins bondés, par contre, il y a plus de risques, et là, il faut plus se méfier.