Modération : les messages deXP25 ont été modérés et les réponses supprimés, toutefois celle-ci est intéressante à garder:XP25, il y a une différence entre un "point de vue" et la réalité des faits. Un point de vue qui dit que la terre est plate ne vaut rien face à la réalité des faits. Un point de vue, c'est lorsqu'on dit que l'on préfère un délice sucré à un décile salé. Il y a eu beaucoup de chose posté ici qui collent à la science, à l'expérience des spécialistes, que tu as choisi d'ignorer. Mais tu penses réellement être plus compétent que ceux dont c'est la spécialité professionnelle?
De plus, il y a tellement de colère et de déni dans tes messages qu'ils en deviennent confus, incohérents, et te montre sous un jour très négatif. Un peu comme le gosse qui fait son caprice en pleurant lors du mariage car il n'est pas le principal sujet d'attention.
Pour l'avoir vu plusieurs fois et vécu moi même, j'ai l'impression que tu reste bloqué dans les premières étapes du deuil.
On va subir 2 à 3 mois de privation de liberté, et avec de 0,5 à 2% de décès, probablement perdre un être cher ou une simple connaissance, et un petit risque d'y passer soit même. Parmi les survivants, un % devra passer par une rééducation lourde de 4 à 6 mois (réapprendre à marcher, attraper des objets, ..)
Ce sont les faits, il n'y a personne d'imperméable à cette réalité. Il n'y a pas "d'immortels".
Mais rester trop longtemps dans les premières étapes est destructeur, et empêche de s'adapter, de gérer correctement la crise et de reconstruire.
Si je parle de cela, c'est que je l'ai vécu plusieurs fois et notamment lors lors d'un passage en ré-éducation suie à un accident: Je garantie qu'on voit de manière flagrante la différence entre ceux qui passent ces étapes et ceux qui n'y arrivent pas. Des accidentés paraplégique qui deviennent extrêmement fort et des gens avec une simple (grosse) fracture se détruire mentalement.
Il faut se dire qu'il y a 2 chemin: celui qui rend plus faible et celui qui rend plus fort, et pour l'instant, tu n'es pas dans le bon.
C'est dans ton intérêt de réagir, que ce soit pour cette crise ou les suivantes.