Et les prix des abonnements, 30 ou 40% aussi, pour s'aligner sur ceux de nos voisins. On n'évoque pas non plus une hypothèse qui est pourtant envisageable, le rachat de SFR ou d'un autre..., par un opérateur d'un autre pays de l'union. Ce serait pourtant plus le sens souhaité par la commission européenne. Mais bon, comme dit dans l'article, le marché français est difficile, et ne dégage pas beaucoup de marges, et cet opérateur étranger ne verrait certainement pas sa valeur augmenter de 30 ou 40%...