C'est quand même 3000 jobs qui risquent de partir en fumée et autant de vies qui vont être bousculées le temps de retrouver des situations... plus ou moins longuement donc... et en province, un environnement un peu moins dynamique d'un point de vue boites IT que dans d'autres grandes villes (Paris mais pas que).
Ceci étant dit, c'est quelque chose qui risque d'être de plus en plus fréquent quand la société bouge de plus en plus vite, et effectivement cela va devenir de plus en plus une banalité. Tout comme on n'envisagerait pas d'avoir de nouveau des demoiselles du téléphone qu'on a eues pendant un demi-siècle au moins, il y a des tas de métiers d'aujourd'hui qui ne dureront que quelques années, au pire décennies, puis s'éteindront plus ou moins brutalement et il faudra s'y habituer.