Pereira se comporte comme un fonds d’investissement : il agit comme s’il avait droit à une part des plus-values.
Il est allé chercher Drahi, alors simple étudiant, lui prête de quoi démarrer et lui met le pied à l’étrier.
Des années plus tard, au moment de la revente, Pereira réclame son “bonus” — qu’il estime à 20 % du groupe Altice.
Selon Les Échos, un enregistrement sonore existerait, confirmant l’existence d’un accord de partage d’intérêts entre les 2.