En fait, ce n'est pas tout à cela, car la plupart des obligations sont "secured", donc garanties par des actifs. Ce qui veut dire que les créanciers peuvent saisir les actifs s'ils ne sont pas remboursés. Mais Patrick Drahi ferait le pari qu'ils n'ont pas envie de gérer des actifs, avant de les revendre, surtout qu'ils sont dispersés, et donc ce n'est pas simple de se coordonner pour cela.