Décision logique.
Il n'y a toujours pas d'accord sur le SI.

Décision logique.
Il n'y a toujours pas d'accord sur le SI.

Il y a un accord en attente ?
Accord entre qui et qui ?

Info issue d'un échange avec SFR Relations Régionales.

SFR ne superposera pas son réseau dans le cadre du RIP Val d'Orge et n'a pas prévu à l'heure actuelle, de venir sur les zones RIP Val d'Orge.
Quant à Corbeil-Essonnes, pas de déploiement en zone RIP à l'heure actuelle.

En revanche, le déploiement continue (comme spécifié sur les différents forums) hors zones RIP, là où SFR est titulaire de la zone AMII.
Il faudra vous en prendre à vos élus .

A Corbeil-Essonnes le déploiement n'a pas encore commencé, mais il y aura déploiement sur zone RIP de la part de SFR, confirmé par le maire lui même ainsi que plusieurs responsables SFR.
Début des travaux début 2018.

C'est toujours aujourd'hui le cas.
Brétigny est une Zone AMII et la CA Val d'Orge (et non pas Cœur d'Essonne à ce moment là) avait décidé d'investir de l'argent pour
"couvrir les zones aux débits les plus bas". Ce qui n'a été demandé par personne à Brétigny. Le déploiement a toujours été ambigu et aujourd'hui encore
on en subit les effets.

C'est la CA Val d'Orge qui était en tord en empiétant manifestement sur l'accord de décembre 2011 entre SFR/Orange et la DATAR (même si il y avait déjà eu des précédents).
Désormais, le réseau RIP empiète sur des zones (pas seulement à Brétigny mais aussi dans des parties de toutes les autres AMII de l'ex-Val d'Orge), ce qui empêche le déploiement à l'heure actuelle. Maintenant comme Brier m'a dit qu'il n'y aurait pas de superposition, c'est qu'il n'y en aura pas et SFR n'a pas prévu de venir à l'heure actuelle sur le RIP.
Donc, effectivement, Rest In Peace pour les gens qui auraient voulu conserver leur opérateur pour une raison X ou Y (notamment tarifaire).

Et puis on ne peux pas parler de retard puisque la date butoir c'était 2020. C'est juste de l'excès de zèle (en AMII toujours) pour pouvoir donner l'impression d'avancer sur le dossier, avec les résultats que l'on a aujourd'hui. Ce qui est bête, c'est qu'en fait, le réseau passera dans les zones concernées sans une seule fois avoir une prise; que vas-tu dire aux gens qui attendaient la fibre avec tous les avantages d'un opérateur national et qu'on leur annonce qu'ils devront s'abonner à un opérateur différent tout en payant plus cher et en perdant une grande partie des avantages...
C'est pour cela que dans certaines communes, lors des réunions publiques, les salles se vident à l'annonce des opérateurs. Les consommateurs ne voudront pas tous entendre que leur ami vivant de l'autre côté de la ville a accès à la fibre Free/SFR/Orange/Bouygues, quand eux doivent payer plus cher pour des équipements moindres.

Si SFR vient, je suis malheureusement sûr que l'augmentation tarifaire induite par l'arrivée sur les RIP (un peu plus de 4,50€ de plus par rapport à une zone AMII, ça dépend des RIP) va être répercuté sur les consommateurs, à la manière de la "zone étendue" de BT. Et je ne parle pas des frais que les OI retirent du catalogue pour les facturer après par surprise (comme dit par la FFDN)...

Les RIP ca a jamais été la tasse de thé des bousicotteur...

Si on regarde ResoLi@n, tous le monde a craché dessus, des gros déficits, en attendant je leur dis quand meme merci, car ils sont tres bien implémanté dans l'Ain, et  ils ont commencé par fibrer les oubliés de l'interent avec nos lignes PTT pourries en campagne, et passer de 1/2 Mbs a 100 Mbs ca change la vie.

Maitenant le pbs est que a l'ouverture du réseau il y a 10 ans, aucun FAIs a voulu etre opérateur, et on a vu plusieurs petits comme K-Net et les autres qui sont venus, et qques années plus tard quand toute l'infra a été payée par les contribuables, c'est les rapasces qui sont arrivés pour squatter, SFR en premier, et maintenant Orange, qui en plus foute le bordel dans notre département en demandant le remplacement des NRO qui sont pas a leur normes, et  ils vont que dans les grosses aglos ou c'est rentable 

Qui plus est ne répond pas au contexte de l'information.
Ici c'est l'état qui a investit dans des zones où SFR et Orange comptaient déjà financer.
Ces zones seront loin d'être prioritaires pour les opérateurs et seront soit abandonnées, soit surfibrées, soit raccordées aux réseaux opérateurs en l'échange d'une redevance imputée aux clients, comme avec Bouygues.