Donc il faut que j’essaie de connecter uniquement la broche 2 ou 7 pour trouver tx mais quels sont les fameuses trace qui doivent s’afficher ? Et sur quels logiciels ? Toujours tera Term ?
Avec TeraTerm ou Putty, tu dois voir du texte.
On voit certaines lignes sur les photos de la p82.
Je ne suis pas sûr de comprendre pourquoi parles-tu de CTRL+C (je ne me souviens pas l’avoir vue à la p82 ?)
Et côté alim de labo je n’en ai pas puis-je utilisé une autre alim en 3.3v exemple chargeur de téléphone ?
La procédure d'origine imposait de faire un court-circuit sur la flash SPI.
La ROM intégrée ne la trouvait donc pas, et le boot s'arrêtait, on pouvait envoyer le 1224abort.bin en xmodem (en fait un bootloader chargé en RAM, et ensuite exécuté).
https://hack-gpon.github.io/ont-huawei-ma5671a-root/ suggère qu'en fait le bootloader qui est sur la flash SPI, même s'il est paramétré avec un bootdelay à 0 (il n'attend pas 3s qu'on appuie sur une touche avant de continuer le boot), peut quand même être interrompu en faisant Ctrl+C au bon moment (la boucle avec le "ser.write(chr(3).encode())" dans le script python le fait en continu pendant 3s).
Le script python fait ensuite toutes les commandes de déverrouillage du bootloader, qui permettent ensuite un accès plus simple, et surtout au Linux de démarrer avec la console active sur le port série.
Une fois démarré sous Linux, la console permet de modifier /etc/passwd, pour que le ssh donne accès à un shell classique au lieu du minishell Lantiq.
Pour l'alimentation, si tu n'as pas de matériel il faut espérer que ton USB-TTL fournisse assez de courant, parfois il faut essayer plusieurs fois pour que ça passe (la page en parle d'ailleurs, une alimentation insuffisante peut faire planter ou rebooter aléatoirement).