+1, à moins que ce soit nécessaire pour une utilisation bien spécifique, DHCPv6 ne fait que rajouter de la complexité sur un LAN.
SLAAC avec RDNSS (annonce des serveurs DNS dans le RA) est automatique et magique.
Les clients peuvent être configurés pour générer des adresses stables par SLAAC, et d'ailleurs, génèrent le plus souvent une adresse stable pour l'administration/management et plusieurs adresses temporaires périodiquement régénérées utilisées pour les connexions sortantes.
Sans configuration particulière, j'ai ceci sur un ubuntu:
$ ip a s dev ens1
6: ens1: <BROADCAST,MULTICAST,UP,LOWER_UP> mtu 1500 qdisc fq_codel state UP group default qlen 1000
link/ether 00:e0:4a:90:61:fa brd ff:ff:ff:ff:ff:ff
inet6 2a01:cb08:<REDACTED>:7b47:c296:1f81:e028/64 scope global temporary dynamic
valid_lft 174048sec preferred_lft 80418sec
inet6 2a01:cb08:<REDACTED>:740b:5baf:cc8e:9a1/64 scope global dynamic mngtmpaddr noprefixroute
valid_lft 174048sec preferred_lft 174048sec
inet6 fe80::4ae1:a2b8:fc8d:91c7/64 scope link noprefixroute
valid_lft forever preferred_lft forever
L'adresse marquée mngtmpaddr est stable (ne change jamais) tant que je reste connecté au même réseau. Je peux donc l'utiliser dans un record DNS, dans /etc/hosts, etc... Est-ce que ca répondrait au besoin ?