Sans être juriste
SI le vendeur lui même annonce la date de cet arrêt du service, et que le service n'est effectivement plus rendu par le vendeur à la date d'arrêt prévue (et/ou que le client ne continue pas à l'utiliser si jamais le service bien que déclaré arrêté ne l'était pas totalement), le contrat peut être considéré comme étant dénoncé par le vendeur par sa lettre d'annonce d'arrêt du service, entrainant sa résiliation par le vendeur à la date indiquée par lui.
Le client n'a donc alors rien à payer à partir de la date de fin de service, récupère TOUTES CAUTIONS dûes par le vendeur (à condition de respecter les termes mettant en jeu ces cautions, du style rendre tel matos, ...). Si le contrat indiquait des 'frais de résiliation', le contrat étant 'cassé' par le vendeur, ces clauses ne tiennent plus et le client ne doit rien de plus que le dernier mois effectif de service (au prorata des jours si en cours de mois), le vendeur ne peut demander de payer des frais (ou les mensualités jusqu'à terme annuel normal du contrat).
Je pense que c'est encore valable même si vous résiliez vous même par courrier (motivez la résiliation en faisant référence aux lettres et mails et indiquez bien que c'est le vendeur qui a donc cassé le contrat) puisque l'on peut considérer que c'est 'forcé' par l'arrêt du service annoncé préalablement par le vendeur, et que vous devez donc anticiper cette coupure, ne pouvez pas rester sans rien (en particulier le téléphone, service 'universel')
Comme maintenant on est le 1er Aout, en théorie même plus la peine d'envoyer une lettre de résiliation
c'est effectivement le vendeur qui a cassé le contrat par sa lettre (n'utilisez surtout plus le service ...).
Enlevez lui l'autorisation de prélèvement auprès de votre banque, et "allez voir ailleurs"