Toutes ces questions, sont liées, à l'autonomie d'approvisionnement en énergie, en cas de défaillance du fournisseur d'énergie principal en ce qui concerne les batteries, et ce quelle que soit la technologie.
Si la fiabilité du fournisseur principal augmente, le cas d'usage de ces batteries en Datacenter pour tenir les coupures intempestives aléatoires partielles est à pondérer par le risque d'interruption par ce type de problème d'incident.
En clair, cela corresponds à comparer le risque d'interruption par manque du fournisseurs d'énergie, versus le risque d'incendie et l'interruption de service y attenant.
Si on estime un pourcentage d'interruption par manque de fourniture d'énergie de la part de EDF pour la France et d'un incendie, quel temps d'interruption est acceptable ? Ce n'est pas cela la vraie question ?
Si on estime à quelques heures par an, un manque de fourniture d'énergie et à plusieurs journées d'interruption pour incendie et perte du matériel, se pose la question du bien fondé de ces solutions, non ?
C'est une solution si le stockage est sans risque et 100% fiable, sinon, le risque est déporté de la fourniture et son interruption au stockage, et manifestement en pire pour ces exemples.
Cela reviens à dire, combien de temps, en moyenne, un onduleur doit permettre une reprise sur dysfonctionnement de fourniture, cela conditionne le dimensionnement des batteries, mais si ces batteries posent un problème de fiabilité de remise en cause de toute l'installation, est il préférable d'avoir une coupure de chez EDF ou un incendie ?