Sauf que les PMZ ont été normalement bien répartis dans Figeac pour éviter que l'atténuation ne fasse que le débit soit nul.
Encore heureux - la technologie PON impose une perte optique maximale (normée) entre le point d'injection (NRO) et l'ONT.
Cette perte induit une distance maximale et un taux de couplage.
https://fibre.wiki/index.php/GPONLes OCEN tiennent compte de ces valeurs & imposent des règles d’ingénieries aux opérateurs d'infrastructure de manière à avoir une seule et même norme sur tout le territoire.
Après c'est "un peu" modulable , dans le sens où il est possible d'augmenter la distance atteignable en diminuant le taux de couplage (de manière à minimiser la perte dans le coupleur au niveau de l'armoire).
Actuellement, de mémoire c'est 32 ou 64 qui est utilisé en France, mais en théorie un arbre peux avoir jusqu'à 128 abonnés (sous réserve bien sur que la perte optique induite ne soit pas trop élevée). A l'inverse, pour les zones "lointaines" on peut imaginer que les FAI choisisse de diminuer le couplage.
Mais bon, j'admets qu'avoir à gérer plein de types de coupleurs sur le territoire c'est pas glop, d'où la demande des OCEN d'homogénéiser les distances NRO-PMZ-abonné pour éviter cela.
L'expérience m'a montré qu'en cas de perte trop importante, soit l'ONT synchronisait simplement pas, soit c'était "haché" , et il y avait aussi des "pertes de débit" en pratique liés non pas au débit de synchronisation, mais aux erreurs de liaison qui provoquaient de très nombreuses retransmission TCP (un test en UDP montrait des pertes extrêmement nombreuses, et "périodiques").
Mais on est pas du tout comme en ADSL où il y a une sorte de "négociation" de la qualité de la ligne préalable.