Plus rien sur (91) de toutes facons... et les voyants sont verts sur mon raccordement.... mais toutes les LEDS sont fixes... rien ne clignote !
C'est planté en général manifestement

Mon voisin est chez knet il est coupé aussi, peut-être que la coupure est localisée sur une partie de la ville de bois.
Merci pour ton message

J'ai réussi à contacter le support KNET -> ticket ouvert auprès de Covage, c'est la deuxième coupure de la fibre cette année.
A suivre

Au moins c'est identifié…
Si ça traîne, n'hésitez pas à contacter Covage sur tweeter pour suivre le ticker et relancer…

Bon courage !

Toujours en panne après 2 semaines de coupure, j'ai appris que ma fibre a été migré chez Altitude, à suivre

En fait altitude a racheté Covage, mais la fibre elle n'a pas bougé...  On peut raisonnablement penser que, sauf pour les réseaux ou ça a été annoncé officiellement par Altitude, les intervenants sont toujours mandatés par COVAGE.

Bah en fait, c'est le nom et la direction qui changent… Les employés sont les mêmes, les sous-traitants aussi, le plus logiquement…

Cela dit, je constate que les choses bougent (par rapport aux problèmes dans les collectes 14 et 91 ex-Tutor) depuis que c'est officiellement dans le giron d'AI. Probablement un politique différente, plus dynamique, plus de communication (dans les deux sens)… je suppose qu'avant l'intégration dans AI, les employés Covage n'ont pas forcément envie de s'engager trop ni de prendre trop d'initiatives au delà des grandes urgences, ce qui peut se comprendre (savoir à quelle sauce ils allaient être mangés, surtout après avoir déjà vécu cela avec Tutor -> Covage).

J'ai effectivement l'impression que les choses s'améliorent doucement.... Moins de guignols dans le réseau...
Par contre je suis sceptique sur l'accord de principe de l'ARCEP pour l'abandon de la procédure STOC En essonne (Ainsi que sur les dépots de paliantes).
Recommandation de l'ARCEP ne vaut pas relation contractuelle entre les opérateurs.

L'abandon de la procédure STOC a comme principale intérêt qu'il n'y a plus qu'une entité qui "assume" la responsabilité (même si c'est elle qui sous-traite aux installateurs).
Sur les RIP (donc financés partiellement par des collectivités), l'infrastructure est un "bien de retour" à l'issue de la concession et donc le délégataire de service public doit en assurer le parfait maintien en conditions opérationnelles.
S'agissant des plaintes éventuelles, il me semble (mais je ne suis pas juriste) que les collectivités peuvent s'appuyer sur :
- l’article L66 du CPCE : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGIARTI000006465590/2004-07-10
Toute personne qui, par la rupture des fils, par la dégradation des appareils ou par tout autre moyen, cause volontairement l'interruption des communications électroniques, est punie d'un emprisonnement de deux ans et d'une amende de 3 750 euros.

- l’article 322-1 du Code Pénal :
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006418260
La destruction, la dégradation ou la détérioration d'un bien appartenant à autrui est punie de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende, sauf s'il n'en est résulté qu'un dommage léger.