Le problème des logements pavillonnaires anciens (*) a été laissé de coté par l'ARCEP ainsi que par les opérateurs nationaux (qui refusent de fibrer en deçà de 12 logements - pourquoi 12, et pas 15 ou pas 10 ? ... bref) en partie pour éviter de se trouver submergé de demande.
Ensuite, au niveau pavillonnaire, le nombre de propriétaires à contractualiser pour la pose est bien plus important: Pas de syndic (donc pas de grand groupe avec qui négocier), un travail de fourmis pour lequel ils sont moins à l'aise.
Seul RezoLiain (désolé Vivien :-) ) a réussi ça à grande échelle , si l'on exclue les quelques zones-test genre Chevry. De nombreux RIP commencent à imiter le modèle de chevry.... mais il y a plus de promesses que de raccordés.
A mon avis, le modèle est mauvais pour les pavillons (cad pour la majorité du territoire géographique). On au pu faire comme d'autres infra publiques: Opérateur jusqu'en bordure de propriété, l'abonné se dèmerde pour la partie privative (ok, ça aurait demandé une réflexion en amont et une formation exhaustive d'un corp de métier ,électriciens par exemple).
Bon, maintenant, c'est trop tard de toute façon. Tant pis, encore une occasion de ratée, et un avenir tout tracé pour la filière des opérateurs....
(*) Pour les logements neufs, une recommandation vient de sortir