Ouch, la techno nécessiterai donc de faire du bi-directionnel single wavelength. Dans ce cas, il faut que le chemin optique ait le moins de réflexion possible, sinon ça ne fonctionne pas. Et avec des connecteurs répartis dans les points de mutualisation qui ne sont pas toujours très propres, manipulés par des techniciens pas toujours précautionneux, est-ce que ça n'est pas risqué?
Sinon, je confirme que cette techno n'utiliserai pas des splitters (qui renvoient l'ensemble du spectre lumineux), mais des mux/demux (prismes ou autre) qui séparent les longueurs d'onde.
Leon.