Saut que pour les RIPs, si on leur pique les communes les plus rentables, alors qu'elles n'intéressaient pas au départ (pas d'AMII), comme dans l'Ain, c'est injouable, et ne pourront jamais être rentables (ou en tout cas, ne pas trop perdre d'argent après l'investissement initial).. Pour des investissements de ce type, il faut une visibilité à long terme. De ce côté là, ils ont raison...
Les RIPs sont ils voués à jeter l'argent public par la fenêtre ? Les communes concernées, avec les baisses de dotations actuelles, ne pourront pas suivre longtemps (ce qui explique aussi qu'elles puissent céder facilement aux sirènes d'un SFR, par exemple, mais pas que...)