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Avec les chiffres du T2 2019, ça donne :Nombre d'immeubles total = 22496 (contre 22376 au t1)Nombre d'immeubles "raccordables" = 13523 (contre 13126 au t1)Nombre d'immeubles "signés" (convention avec le syndic signée mais fibre non déployée) = 180 (contre 139 au t1)Nombre d'immeubles "en cours de déploiement" = 1126 (contre 1036 au t1)Nombre d'immeubles "programmés" = 6054 (contre 6684 au t1)Nombre d'immeubles "raccordables sur demande" = 1611 (contre 1391 au t1)On remarque encore cette augmentation des immeubles raccordables sur demande, atteignant les 7,2% (contre 6,2% au t1 et 1,9% au t4 2018). On commence à se rapprocher des 8%...
Au vu de ces chiffres pensez vous que l'objectif AMII de 92% de "raccordables" et 8% de "raccordables sur demande" fin 2020 est tenable ?
Le mieux pour en juger est encore de consulter le graphique de progression AMII fourni gracieusement par l'Arcep dans son observatoire trimestriel :
Surtout que plus de déploiement avance, plus les prises restantes risques d'être coûteuses et/ou compliquées à installer (zones peu denses, desserte aérienne, éloignement du PM)
On parle de zones AMII, donc assez urbaines quand même.
Hors bien sûr travaux de voirie où ça chiffre vite, je pense que si, l'aérien est plus cher. Pour une raison simple : il ne suffit pas de tirer la fibre d'une chambre à l'autre sous le trottoir, il faut une nacelle (coûteuse) pour placer des rails puis la fibre sur chaque poteau...Un expert confirmera ou non mon idée.