Leur combien n'est pas une science, c'est une RELIGION.
Pour certains la Terre est plate, pour d'autres elle brûle, leur point commun est que leurs prêtres sont aussi allumés les uns que les autres.
Exactement. Par exemple tous les trucs de la chrétienté ont été repris par l'écologisme.
Dieu a été remplacé par une déesse, la Nature.
La promesse de l'enfer pour non suivi du dogme, brandie par le clergé catholique pour asservir les croyants et convertir les sceptiques, a été remplacée par celle d'une apocalypse climatique planétaire.
La culpabilisation de l'homme, établie par le péché originel et renforcé pendant des siècles par l'affirmation que les famines ou les épidémies sont les punitions divines des hommes car irrespectueux des préceptes de dieu, se retrouve dans le message du clergé écologiste : l'homme aurait saccagé la déesse Nature, tout ce qui va mal est de sa faute.
Enfin, de même que Dieu était bon, la Nature est bonne, meilleure que tout ce qui serait artificiel, même quand il s'agit d'une molécule de CO2.
Les nouveaux mécréants sont appelés "climatosceptiques", ils sont discrédités, y compris des scientifiques, quelque soit les faits qu'ils présentent. Il est clair que le bûcher sera pour eux dès que les écologistes auront le pouvoir, ce qui n'est pas demain la veille vu leur score ridicule aux élections, mais attention aux idéologies rampantes : les pouvoirs en place ont toujours été de mèche avec le clergé de la religion dominante. C'est le cas aujourd'hui. Quelle facilité pour servir sa cause, que de brandir démagogiquement n'importe quel alibi écologique, en oblitérant tout le reste.