Auteur Sujet: Datacenter de 1400 MW pour l'intelligence artificielle en Seine-et-Marne (Fouju)  (Lu 3176 fois)

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vivien

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J'ai déjà posé la question "À Fouju, RTE a-t-il prévu l'aménagement ou la construction d'une nouvelle ligne électrique, afin d'assurer la sécurisation de l'alimentation électrique des centres de données du campus d'IA ?"

Tu souhaites que je la complète ?

Il y a 3 lignes en parallèle (deux lignes double circuit de 400 000 volts et une de 225 000 volts), je pense que cela tient 1400 MW sans problème (c'est 4400 MW à 6000 MW par ligne 400 000 volts double circuit), mais se pose la question de la sécurisation, que ce soit via une autre ligne (d'autres lignes 400 000 volts passent à proximité) qui ne serait pas parallèle à la première, mais aussi avec les batteries ou les groupes. Si on est sûr des groupes de 1 MW comme on voit dans les datacenter, il en faut un bon millier sur site !

Pouvoir tenir 15 minutes à 1400 MW, il faut combien de batteries ?

Sur la photo le premier pylône visible est celui de la ligne 225 000 volts, les deux suivants sont deux lignes 400 000 volts :

alain_p

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Mes excuses, je n'avais pas vu cette ligne qui n'était pas en gras. En fait, qu'une ligne de 400 kV puisse tenir 1.4 GW, OK, mais cette puissance était aussi bien sûr prévue pour être utilisée ailleurs.
Et si les lignes secondaires sont parallèles, c'est sûr que pour la redondance, ce n'est pas terrible, et en plus de toute façon, elles ne font pas la même puissance.

Il est vraisemblable qu'à terme, si tout est construit, cela reste à voir, une seconde ligne 400 kV, venant d'une autre direction, sera envisagée...

vivien

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Le campus IA a deux lignes 400 000 volts qui passent sur sa passerelle, mais il y en a deux autres qui passent à proximité (de l'autre côté de l'autoroute).

Donc, il est possible que le raccordement final inclus un raccordement sur ces lignes situées à proximité. Le raccordement RTE à la ligne 400 000 volts s'effectuant en deux phases selon le projet.

Il y a également le poste électrique de Courtry qui est à proximité, mais c'est un poste 225 000 volts. Toutes les lignes qui s'y arrêtent sont en 225 000 volts.
Les lignes 400 000 volts ne s'arrêtent pas sur ce poste.




À droite sur le photo, on voit l'arrivée d'autres lignes RTE :



Le poste RTE de Courtry et Moisenay est mentionné en bas à droite, sur cette carte expliquant le raccordement électrique de la RATP :
Parallèlement nous avons eu le schéma en pièce jointe issu sur Journal Officiel du 4 juin 2002 illustrant l'infrastructure de la RATP.

alain_p

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Il y a aussi le problème général de l'équilibre du réseau. S'il y a deux lignes redondantes de 1.4 GW, et en considérant que l'on est dans une configuration active/active, où l'on tire la moitié de chaque côté, et mettons que ce ne soit même pas à pleine puissance, mais 500 MW de chaque côté. Que se passe-t-il si une des deux lignes tombe ? Est-ce que l'autre peut absorber 500 MW de plus d'un coup ?

Si on est dans une configuration actif/passif, ce serait même 1 GW de plus d'un coup... N'y a -t-il pas un risque comme cela s'est vu par exemple en Italie en 2003, que de proche en proche, toutes les lignes sur lesquelles on reporte l'appel de puissance tombent, puis tout le réseau ?

Hugues

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1,4GW, c'est combien par rapport à la consommation électrique de tous les datacenters actuels de France réunis ?

alain_p

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D'après Google, ce serait environ 4.5 GW à cette date. Et 4.5 GW de plus d'ici 2035. Mais ici, c'est concentré en un point du réseau.

vivien

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Selon les données de l'Arcep, qui collecte la consommation des centres de données dont la puissance maximale admissible en équipements informatiques est supérieure à 500 kW :

La consommation électrique des centres de données étudiés continue de progresser en 2023 pour atteindre 2,4 TWh.

Quelles entreprises ont été interrogées ?

La présente publication se centre sur les entreprises dont l’activité principale consiste en la mise à disposition à des tiers d’infrastructures et d’équipements hébergés dans des centres de données. Elle exclut de fait les entreprises dont la principale activité n’est pas celle d’opérateur de centre de données, mais qui disposent de centres de données pour leur propre activité, telles que les établissements financiers, les centres de recherche, etc.

Les acteurs interrogés dans le cadre de la présente publication sont des opérateurs de centres de données au sens du code des postes et communications électroniques, c’est-à-dire des opérateurs de colocation et de co-hébergement. Les entreprises clientes des opérateurs de centres de données au sens où elles utilisent les locaux des opérateurs de centre de données pour héberger leurs serveurs informatiques ne sont pas interrogées.

En outre, les opérateurs de centre de données interrogés dans le cadre de la présente publication sont ceux dont le chiffre d’affaires, en France, est égal ou supérieur à 10 millions d’euros hors taxes. Ce seuil permet de collecter des données auprès des plus gros centres des données, c’est-à-dire ceux dont
la puissance maximale admissible en équipements informatiques est supérieure à 500 kW. Ce seuil conduit également à collecter des données auprès de certains centres de données pour lesquels la puissance maximale admissible est inférieure à 500 kW, sans que ces centres de données ne soient
représentatifs de l’ensemble des centres de données dont la puissance est inférieure à 500 kW en France.

Enfin, d’après l’étude ADEME-Arcep sur l’évaluation de l’impact environnemental du numérique, les centres de données étudiés dans le cadre de la présente publication représentent environ 50 % de l’ensemble des centres de données de colocation en service en France en 2020.


Source : https://www.arcep.fr/fileadmin/user_upload/observatoire/enquete-pns/edition-2025/enquete-annuelle-pour-un-numerique-soutenable_edition2025.pdf

Il reste à voir s'il est possible de convertir des GWh pendant l'année 2023 en GW en se basnt sur une hypothése de consomation stable 24h/24.

vivien

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Les questions valables, vu de loin de ma part, sont plutot :

- qui finance le bouzin, et pour combien de temps
- quels hardware utilisé ? au moins au debut
- ca passe en exploitation quand ?

On sait déjà qui finance la chose, cela a été annoncé par Emmanuel Macron.





Campus AI (nom commercial : Campus IA) est une société de projet composée de 4 acteurs majeurs :
- MGX : société d’investissement technologique internationale, basée aux Émirats Arabes Unis.
- BPI France : banque publique d’investissement française, placée sous la supervision de la Banque centrale européenne. Son capital est détenu par l’État et la Caisse des Dépôts. En tant qu’actionnaire significatif du projet, Bpifrance incarne la garantie que les intérêts stratégiques de la France sont pleinement représentés et protégés.
- Mistral AI : start-up française pionnière en intelligence artificielle générative, engagée dans le développement de modèles de langage open source et propriétaires.
- Nvidia: leader mondial du calcul accéléré et partenaire technologique incontournable de l’écosystème de l’IA.

Au-delà de cet actionnariat, Campus IA s’appuie sur un réseau de partenaires industriels, énergétiques et académiques (Bouygues, EDF, RTE, l’École Polytechnique, Sipartech), qui contribuent à la réussite opérationnelle et scientifique du projet.

Dans le cadre du projet Campus IA, RTE pilote le raccordement du projet au réseau 400 kV existant, notamment par la création d'un poste électrique source en double entrée dans l'emprise du projet.




Le coût du projet

Le projet Campus IA recouvre plusieurs investissements distincts portés par un consortium d'opérateurs et d'investisseurs associant Campus IA, des opérateurs de datacenters et de centre de calcul ainsi que des acteurs français, européens et internationaux du cloud et de l'intelligence artificielle.

Le développement de l'ensemble du projet à terminaison est estimé à environ 50 milliards d'euros d'investissement, répartis entre l'infrastructure mutualisée (poste source, espaces communs, bâtiments de formations et aménagement des terrains), le datacenters, et leurs équipements (serveurs, puces de calcul).

La première phase du projet est estimée à environ 8 milliards d'euros d'investissement.


Pour le "quand", voici le planning : La mise en service des 3 premiers datacenters est pour 2028



alain_p

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Sinon, la source de Google (plutôt de Gemini), que je citais plus haut est RTE :

Citer
Data centers : 11 chiffres sur leur essor en France et leurs besoins en électricité

21/05/2025

....
3) 300 data centers

C’était le nombre de data centers présents en France en 2022, en grande majorité raccordés aux réseaux publics de distribution, avec des puissances de l’ordre de quelques mégawatts. Leur consommation est estimée à environ 10 TWh, soit environ 2 % de la consommation française totale en électricité sur l’année.

4) 4,5 GW de demandes de raccordement signées

Depuis quelques années, les projets de data centers, sont plus gros, plus nombreux et ils demandent un raccordement direct sur le réseau de transport RTE. Il n’est plus rare de recevoir des demandes à hauteur de 100 à 200 MW (soit une fourchette équivalente à celle de la consommation électrique entre la ville de Rouen et la ville de Bordeaux). Au-delà de quelques projets portés en propre par de grands acteurs du numérique, la majorité est constituée de data centers en « colocation » : un opérateur construit un bâtiment disposant de toutes les caractéristiques nécessaires à l’accueil sécurisé de serveurs informatique, et loue ensuite des mètres carrés à des entreprises. C’est 4,5 GW de capacité qui ont déjà fait l’objet d’offres de raccordement signées à début septembre 2024, et un volume équivalent est en instruction.
....

https://www.rte-france.com/wiki-energie/data-centers-11-chiffres-sur-leur-essor-france-leurs-besoins-electricite

vivien

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Merci alain_p, c'est effectivement plus pertinent de citer RTE.

Avec l'ouverture de la concertation lundi, plus de détail sont accessibles.

Un visuel (généré par IA ?) est proposé, qui n'est probablement là qu'à titre d'illustration :



Je suis étonné de ne pas voir de cheminées sur les groupes, il me semble que c'est obligatoire.

La puissance des datacenter semble avec la photo ne pas excéder 30 MW par datacenter, soit  360 MW pour 12 datacenters, contre les 1400 MW annoncés, soit 117 MW par datacenter.

vivien

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Le raccordement électrique du projet par RTE

Il y aura une puissance de 700 MW et sécurisation sur les deux lignes 400 000  volts pour la première phase. Je n'ai pas compris si pour la seconde phase ( 1 400 MW on fait appel à deux autres lignes 400 000 volts à proximité ou si c'est juste un ajout de transformateurs sans toucher aux lignes 400 000 volts).

Pour le raccordement électrique du site de Campus IA, RTE a mené des études de réseaux afin de définir la solution de raccordement la plus adéquate en fonction de différents paramètres : puissance à raccorder, structure locale du réseau, consommation et production (actuelle et future) à l’échelle nationale et locale, contraintes d’exploitation, localisation du site à raccorder… Les résultats de ces études indiquent que la solution la plus appropriée pour alimenter le site de Campus IA, à la puissance de raccordement souhaitée par le client, est de créer un poste 400kV en double entrée en coupure sur les liaisons aériennes 400kV Chesnoy – Morbras 1 et 2.

Compte tenu de la présence de la ligne aérienne 225kV Coubert – Moisenay entre les deux lignes aériennes 400kV et le site étudié pour l’implantation du futur poste électrique 400kV, RTE va mettre en souterrain la ligne Coubert – Moisenay au niveau du futur poste, sur quelques centaines de mètres.

La puissance de raccordement du Campus IA répond à deux phases :
- Dans un premier temps, un raccordement à 700 MW dans le cadre du programme Fast Track, afin d’assurer un raccordement pour les premières phases du projet ;
- Dans un second temps, un raccordement à la puissance de 1 400 MW pour l’alimentation du Campus IA à pleine capacité.

À ce jour, la contractualisation entre RTE et Campus IA porte sur cette première puissance de raccordement (700 MW).

Par ailleurs, plusieurs infrastructures sont à créer :
- Un poste 400 kV en double entrée en coupure ;
- Une mise en souterrain partielle de la ligne 225 kV existante (qui implique de créer une liaison souterraine et d’installer deux pylônes aérosouterrains de part et d’autre du siphon).


Plus de détail sur le programme Fast Track évoqué pour le raccordement :


vivien

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On a des réponses à des questions que je me posais sur le type de refroidissement utilisé qui est du type dry cooling (refroidissement à l'air) et sur la valorisation de la chaleur fatale.

Les effets prévisionnels du projet

À ce stade, il est possible d’identifier un certain nombre d’effets potentiels du projet sur le territoire. Ceux-ci seront précisés et quantifiés plus finement à mesure de l’avancement des études.

Sur l'emploi et la formation

Campus IA a vocation à mobiliser de nombreux emplois en phase de construction et à créer de nouveaux emplois en phase d’exploitation. Les estimations envisagent, à terme, la création de plusieurs centaines d'emplois directs et plus de 1000 emplois indirects (prestataires de service, etc.), stimulant l’activité économique des entreprises locales.

Sur le paysage

La parcelle choisie pour le projet Campus AI présente l’avantage d’être dans une zone sans habitations à proximité immédiate et voisine de deux installations existantes (une prison et un centre de déchets Véolia), de l’autoroute A5 et de la LGV Paris-Lyon, qui garantissent l’absence de zone habitée future. Les porteurs du projet et les concepteurs accordent une attention particulière à la bonne insertion du campus dans son environnement.

Sur le trafic routier

Une simulation précise du trafic induit par le projet, tant en phase de chantier qu’en phase d’exploitation, sera réalisée dans le cadre d’une étude de circulation approfondie. Cette étude sera intégrée aux études environnementales du projet. Elle prendra en compte :
- le trafic généré par l’ensemble des activités liées au projet,
- l’impact du projet de centre pénitentiaire voisin,
- ainsi que les effets du réaménagement prévu de la route départementale 57 sur lequel le projet va s’insérer.

Les résultats de cette analyse permettront d’évaluer de manière fine les éventuelles nuisances ou congestions susceptibles d’apparaître sur le réseau routier local.

À ce stade, il est possible d’identifier un certain nombre d’effets potentiels du projet sur le territoire. Ceux-ci seront précisés et quantifiés plus finement à mesure de l’avancement des études.

Campus IA a vocation à mobiliser de nombreux emplois en phase de construction et à créer de nouveaux emplois en phase d’exploitation. Les estimations envisagent, à terme, la création de plusieurs centaines d'emplois directs et plus de 1000 emplois indirects (prestataires de service, etc.), stimulant l’activité économique des entreprises locales.

La parcelle choisie pour le projet Campus AI présente l’avantage d’être dans une zone sans habitations à proximité immédiate et voisine de deux installations existantes (une prison et un centre de déchets Véolia), de l’autoroute A5 et de la LGV Paris-Lyon, qui garantissent l’absence de zone habitée future. Les porteurs du projet et les concepteurs accordent une attention particulière à la bonne insertion du campus dans son environnement.

Une simulation précise du trafic induit par le projet, tant en phase de chantier qu’en phase d’exploitation, sera réalisée dans le cadre d’une étude de circulation approfondie. Cette étude sera intégrée aux études environnementales du projet. Elle prendra en compte :

    le trafic généré par l’ensemble des activités liées au projet,
    l’impact du projet de centre pénitentiaire voisin,
    ainsi que les effets du réaménagement prévu de la route départementale 57 sur lequel le projet va s’insérer.

Les résultats de cette analyse permettront d’évaluer de manière fine les éventuelles nuisances ou congestions susceptibles d’apparaître sur le réseau routier local.

Sur la consommaiton électrique estimée

RTE n’identifie pas d’enjeu fort lié au développement des datacenters pour l’équilibre offre-demande. En effet, la France a même battu son record d’export d’électricité vers les pays voisins en 2024. Par ailleurs, RTE mène des études de raccordement au réseau qui identifiera, le cas échéant, les possibles conséquences locales et les travaux à mener. Pour le raccordement de la première phase du projet, à 700 MW, aucun travaux de renforcement du réseau ne sont nécessaires.

Sur la consommation en eau

Pour la phase 1 du projet, Campus IA a fait le choix de la sécurité environnementale : le refroidissement sera assuré à 100 % par des technologies de type dry cooling (refroidissement à l'air), ce qui signifie aucun prélèvement dans les ressources en eau locales.
À terme, et selon l’évolution des besoins et des technologies disponibles, certains bâtiments pourront recourir à des solutions mixtes, intégrant par exemple l’utilisation d’eaux grises (eaux industrielles de réutilisation, impropres à la consommation humaine mais parfaitement adaptées pour des usages industriels).

Sur la valorisation de la chaleure fatale

La chaleur fatale correspond à la chaleur produite naturellement par les équipements informatiques lors de leur fonctionnement. Plutôt que d’être libérée, cette chaleur peut être réutilisée pour alimenter des réseaux de chauffage à proximité. Cette réutilisation permet d'optimiser l'efficacité énergétique globale du projet, de limiter l'effet îlot de chaleur et contribue à réduire les émissions de CO2 en se substituant à des solutions de chauffage plus carbonées de type chaudières au gaz.

Campus IA échange avec les services de l’Etat et le territoire pour étudier plusieurs possibilités de valorisation, parmi lesquelles :
- L’alimentation en chaleur du futur centre pénitentiaire de Crisenoy, géographiquement très proche du projet ;
- L’alimentation en chaleur de futures serres maraîchères aujourd’hui à l’étude par des agriculteurs à proximité ;
- Le raccordement à l’important réseau de chaleur de Melun-Vaulx-le-Pénil, aujourd’hui opéré par Dalkia.

Des discussions sont en cours et les premières études de faisabilité seront menées d’ici fin 2025.

Sur l'impact sur la biodiversité

Le site ne comporte aucune zone naturelle protégée. Une étude écologique complète, conduite sur quatre saisons, permettra d’identifier précisément les enjeux de biodiversité et, le cas échéant, de mettre en œuvre des mesures d’évitement, de réduction ou de compensation adaptées.


Source : https://www.concertation-campus-ia.fr/fr/les-effets-previsionnels-du-projet