Il y a aussi les autorités de la concurrence qui peuvent ne pas le vouloir. C'est un gros sujet pour les trois. Et bien sûr, il y a la question du prix (20 ou 30 milliards demandés par Patrick Drahi ? on a vu circuler pas mal de chiffres), et de la reprise de la dette, qui même après l'accord avec les créanciers sera encore d'environ 16 milliards d'euros (15.8 milliards après le "pro forma" du T2, mais comme les intérêts continuent à être versés sur ~24 milliards, on sera certainement plus haut à la fin du T3).
Donc personnellement, c'est peut-être théoriquement possible, mais à mon avis irréaliste, trop compliqué. Comme les tentatives qui ont déjà eu lieu quand il s'agissait d'envisager le découpage de Bouygues Telecom en 2015/2016.