Auteur Sujet: Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie  (Lu 1378841 fois)

0 Membres et 1 Invité sur ce sujet

joel19

  • Abonné Orange Fibre
  • *
  • Messages: 1 303
  • Expert en cuistre / Informé /Anti-raciste
    • Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme
Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #9012 le: 19 janvier 2022 à 08:17:24 »
Après il faut faire la différence entre qqn qui se trompe, et qqn qui se trompe constamment, idéalement dans le JT de 20H où ils passe plus de temps que dans des services de soin.

Blachier n'a ni cabinet médical ni un poste dans un hôpital, un CHU, une clinique, il ne prescrit pas, c'est un consultant et un statisticien qui interprète des données. Finalement c’est un lobbyiste qui n’a jamais vu un malade mais comme le personnage est disons « velu » il exerce aussi une activité d’épilation  lol

alain_p

  • Abonné Free fibre
  • *
  • Messages: 16 755
  • Delta S 10G-EPON sur Les Ulis (91)
Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #9013 le: 19 janvier 2022 à 08:40:27 »
Au contraire, l'avantage du pass vaccinal sur le pass sanitaire, c'est qu'il limite bien mieux les pratiques à risque des non-vaccinés.
Les irréductibles ne se feront pas plus vacciner, d'ailleurs pour cette vague ça a effectivement peu d'intérêt, mais ils se feront moins contaminer  :)

Leurs enfants ne vont pas à l'école ? Ils ne vont pas faire de course. Ils ont besoin de pass sanitaire ou vaccinal pour aller voir, ou recevoir, de la famille ou des amis ? Franchement, je ne pense pas que l'impossibilité d'aller au cinéma, à un spectacle..., va changer grand chose à leur probabilité d'être infecté par le Omicron.

ericse

  • Abonné Free fibre
  • *
  • Messages: 431
Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #9014 le: 19 janvier 2022 à 13:47:44 »
je ne pense pas que l'impossibilité d'aller au cinéma, à un spectacle..., va changer grand chose à leur probabilité d'être infecté par le Omicron.
Cinéma et spectacles je suis assez d'accord avec toi, je pensais plus aux bar et restaurants où le port du masque est impossible. Puisqu'avec Omicron les vaccinés peuvent être contagieux asymptomatiques, il faut bien faire en sorte que les non-vaccinés, sujets à formes graves, soient le plus possible séparés d'eux.

Le but n'étant bien sûr pas de les empêcher d'être contaminé un jour, là aussi je suis d'accord c'est impossible, mais de lisser la contamination pour permettre aux hôpitaux de reprendre les soins non-urgents (mais au combien importants pour les concernés).

alain_p

  • Abonné Free fibre
  • *
  • Messages: 16 755
  • Delta S 10G-EPON sur Les Ulis (91)
Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #9015 le: 19 janvier 2022 à 21:58:08 »
Il y a eu encore 436.000 cas positifs remontés aujourd'hui par SI-DEP,, qui suivent les 465.000 d'hier, ce qui tendrait à confirmer qu'au moins pour la contamination, on n'est pas à la baisse comme espéré.

Et l'on parle d'un nouveau variant, venu d'Inde, une sous-variété du Omicron, BA.2 (BA.1 étant le Omicron original), qui pourrait être la cause de ce rebond. Il serait déjà majoritaire au Danemark, où on constate aussi un rebond, contrairement à la Grande-Bretagne. Les tests actuels ne permettraient pas de le distinguer.

Pourtant, malgré ce nouveau variant, on se dit que le Omicron doit avoir maintenant infecté à peu près tout ce qu'il y avait à infecter, et devrait commencer à manquer de cibles...

Citer
Covid-19 : un nouveau variant d'Omicron ? Ce que l'on sait sur la souche "BA.2", qui pourrait relancer la 5e vague

Robin Serradeil Publié le 19/01/2022 à 12:39 , mis à jour à 18:19

Les autorités sanitaires affirmaient il y a quelques jours que la France était en train de passer le pic épidémique de la 5e vague de Covid-19. Pour autant, la communauté scientifique observe sur le court terme un rebond des contaminations. Le professeur Antoine Flahault, épidémiologiste, évoque la thèse d'un nouveau variant qui aurait relancé la circulation du virus dans le pays.

...
Un nouveau variant du Covid-19 en France ?

Selon le professeur Antoine Flahault, épidémiologiste et directeur de l’Institut de Santé globale à l’université de Genève, ce rebond très récent des contaminations pourrait avoir été causé par un nouveau variant du Covid-19. "Au Royaume-Uni, le nombre de nouveaux de Covid-19 diminue de moitié tous les sept jours, explique le professeur. On s'attendait à ce que la France emboîte le pas du Royaume-Uni, avec deux semaines de décalage : ce n'est pas le cas. Et ce nouveau variant pourrait être à l'origine de l'augmentation très récente des contaminations que l'on est en train d'observer."

Un "sous-variant" venu d'Inde

De son nom variant "BA.2" ("BA.1" pour la souche originelle du variant Omicron), celui-ci a été repéré en Inde et à Singapour. "Il semble responsable de la poursuite de l'épidémie au Danemark. Il pourrait même être devenu majoritaire dans ce pays", affirme l'épidémiologiste. La souche "BA.2" a également été détectée en Belgique. Cette variante d'Omicron est aussi appelée "Omicron furtif", car cette nouvelle souche parvient à passer sous les radars des outils de séquençage aujourd'hui utilisés.

Un variant plus contagieux ?

Selon le professeur Flahault, il s'agit là d'un sous-variant de la lignée d'Omicron "qui devrait faire parler de lui sous peu" : "C'est un variant qui semble proche, même si pour l'heure, nous avons peu de données sur sa virulence ou sur sa capacité d'échappement".

Le professeur affirme que cette souche n'avait pas encore "été classifiée par l'Organisation Mondiale de la Santé, (OMS) comme un variant de préoccupation. [...] On pense cependant qu'il reste très contagieux".

Quels scénarios en France ?

Les autorités sanitaires françaises doivent-elles pour l'heure mettre de côté toute perspective de décrue des contaminations ? "Je ne suis pas totalement confiant sur les prévisions que l'on peut faire aujourd'hui sur le pic de la 5e vague et sur une décrue potentiellement rapide. On n'est pas dans une situation très favorable en France pour parler de décrue épidémique", confie le professeur Antoine Flahault.

L'épidémiologiste affirme par ailleurs que le pays pourrait connaître une situation semblable à celle du 15 décembre dernier : "on pensait atteindre un pic épidémique, mais le variant Omicron avait relancé la circulation du virus. Cette nouvelle souche serait cette fois-ci susceptible de relancer à nouveau les contaminations".

https://www.ladepeche.fr/2022/01/19/covid-19-un-nouveau-variant-domicron-ce-que-lon-sait-sur-la-souche-ba2-qui-pourrait-relancer-la-5e-vague-10055517.php

https://x.com/theosanderson/status/1483816476767395841

https://covglobe.org/?lineages=A%2CB%2CB.1.1.7%2CB.1.177%2CB.1.351%2CB.1.1.529%2CB.1.617.2%2CP.1%2CBA.2%2CBA.1&colours=7%2C3%2C1%2C0%2C4%2C8%2C6%2C2%2C5%2C0&lineage=BA.2&latitude=21.145948&longitude=53.194747&zoom=1.151400&area=overview&date=2022-01-16&scale=quadratic&uncertainty=1
« Modifié: 19 janvier 2022 à 22:34:15 par alain_p »

alain_p

  • Abonné Free fibre
  • *
  • Messages: 16 755
  • Delta S 10G-EPON sur Les Ulis (91)
Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #9016 le: 19 janvier 2022 à 22:08:07 »
Pourtant, selon CovidTracker, malgré déjà 15 jours de chiffres énormes de cas positifs, on est toujours en baisse au niveau des admissions en réanimation, et du nombre total de patients en réanimation (3852, -29). Les chiffres de parts du variant Omicron ont été actualisés, on est maintenant à plus de 95%.



Thornhill

  • Abonné SFR fibre FttH
  • *
  • Messages: 3 974
  • Saint-Médard-en-Jalles (33)
Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #9017 le: 19 janvier 2022 à 22:20:11 »
Au Danemark BA2 serait majoritaire :

alain_p

  • Abonné Free fibre
  • *
  • Messages: 16 755
  • Delta S 10G-EPON sur Les Ulis (91)
Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #9018 le: 19 janvier 2022 à 22:24:59 »
Le sous-variant BA.2 pourrait être confondu avec le Delta, car ne comporterait pas une des mutations testée du Omicron, ce qui pourrait expliquer la persistance apparente du Delta dans les taux de variants :

Citer
Un sous-variant d’Omicron, confondu avec Delta, détecté en Belgique.

Par Rédaction en ligne Mercredi 19 janvier 2022 10:49

Cette nouvelle souche d'Omicron serait passée inaperçue à cause de cette ressemblance avec Delta mais circulerait déjà bien en Belgique.

Un variant Omicron, plusieurs lignages

Selon Tom Wenseleers, BA.2 viendrait d’Inde où il circulerait tellement qu’il représentait une bonne majorité des cas. De là, il se serait répandu ailleurs, comme au Danemark où il pourrait déjà représenter 50% des contaminations, et au Royaume-Uni. Aujourd’hui, il s’avère que la Belgique ne lui a pas échappé mais que jusqu’ici, cela se passait de façon inaperçue.

Pour être exact, il ne s’agirait pas vraiment d’un nouveau variant mais d’un des lignages d’Omicron. Autrement dit, entre BA.1 et BA.2, les mutations sont globalement semblables, avec seulement quelques différences. «Il a une vingtaine de mutations par rapport à BA.1, ce qui est relativement nombreux» pour un lignage du genre, précise Tom Wenseleers au Nieuwsblad. BA.2 ne comporterait par exemple pas «la délétion 69-70 dans la protéine Spike» selon Santé publique France. BA.2 comme BA.1 pourraient ainsi être tous deux qualifiés de «variant Omicron». Il ne s’agit pas vraiment d’un «Omicron 2.0». Mais leurs nuances ont suffi à brouiller les données épidémiologiques en Belgique.

Une prévalence difficile à établir

Cette découverte pourrait résoudre une énigme qui intriguait les experts. Cela fait maintenant plusieurs semaines que le variant Delta fait preuve d’une étonnante persistance dans les chiffres belges. Il causerait encore 15% des infections (contre 85% pour la souche BA.1), alors qu’il était attendu qu’il disparaisse rapidement face à la grande contagiosité d’Omicron. Mais en réalité, il se pourrait que Delta soit encore moins présent que cela, puisque BA.2 était confondu avec lui.

Dans quelles proportions BA.2 est-il véritablement présent en Belgique? «Pour l’instant, il ne s’agit que d’un faible nombre de contaminations, c’est difficile de donner un chiffre», déclare Tom Wenseleers. Pour le savoir, il faudrait revoir les procédés de détection des variants pour faire apparaître sa véritable prévalence. Contrairement à BA.1, il est difficile de le détecter dans les tests PCR tels qu’analysés aujourd’hui.

https://www.moustique.be/actu/sante/2022/01/19/un-sous-variant-domicron-confondu-avec-delta-detecte-en-belgique-224401

  • Invité
Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #9019 le: 19 janvier 2022 à 22:25:48 »
N'y a-t-il pas eu beaucoup de bruit pour rien sur cette affaire ? Question de profane mais je lis cette mise à jour / mise au point de l'article de  Stéphane Korsia-Meffre :

https://www.vidal.fr/actualites/26105-vaccins-contre-la-covid-19-doit-on-s-inquieter-du-risque-de-maladie-aggravee-chez-les-personnes-vaccinees.html



Edit du 10 janvier 2022 : Après un an d'administration des vaccins contre la COVID-19 (vaccins à ARNm ou à adénovirus), sur plus de 4 milliards de personnes à travers le monde, aucun événement de maladie aggravée associée à la vaccination n'a été observé parmi les personnes infectées malgré la vaccination. Au contraire, lors d'infection perthérapeutique ("breakthrough infections", malgré le vaccin), la masse des données pointent vers une réduction de la sévérité des symptômes chez les personnes vaccinées.


je ne parle pas des cas vaccinés mais de l'immunité naturelle après contamination dans les cas de formes légères.

alain_p

  • Abonné Free fibre
  • *
  • Messages: 16 755
  • Delta S 10G-EPON sur Les Ulis (91)
Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #9020 le: 19 janvier 2022 à 22:50:25 »
Sur les hospitalisations avec ou pour Covid, Le Monde a sorti un article intéressant aujourd'hui, qui indique que la part de patients admis à l'hôpital "avec Covid", et pas "pour Covid", est particulièrement importante pour les plus jeunes, 44% pour les 20-29 ans, et 40% pour les 30-39 ans. Globalement, la part des admis "avec Covid" serait actuellement de 20%, en augmentation.

Citer
Covid-19 : 20 % des hospitalisations ont une autre cause que le virus


Au début de janvier, près de la moitié des 20-29 ans admis à l’hôpital en étant porteur du virus l’ont été pour un autre motif médical que le Covid-19. Ce biais de calcul tend à s’amplifier.

Par Léa Sanchez Publié aujourd’hui à 14h00, mis à jour à 18h41

...
Ce décalage entre hospitalisations « pour » et « avec » Covid-19 est plus marqué chez les jeunes adultes. Au début de janvier, 44 % des 20-29 ans hospitalisés et diagnostiqués positifs au SARS-CoV-2 l’ont été pour un autre motif médical que le Covid-19 (18 % en soins critiques) et 40 % des 30-39 ans (14 % en soins critiques).

Tous ces éléments sont calculés à partir des données renseignées dans SI-Vic (système d’information pour le suivi des victimes), le système de surveillance mis en œuvre à la suite des attentats de novembre 2015 et devenu dès le début de l’épidémie « le pivot du dénombrement hospitalier des patients atteints [du] Covid-19 », selon la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees).

Une variable publiée quelques mois par SPF, puis retirée

Lors de la première vague, « aucune information médicale autre que le statut d’hospitalisation n’y est saisie », ce qui, de l’avis de la Drees, ne posait alors pas de difficultés majeures. En effet, comme « l’activité de base des hôpitaux était presque à l’arrêt, l’essentiel des patients entrés dans SI-Vic étaient admis du fait de leur infection.
Puis, progressivement, les capacités de dépistage ont augmenté et ce dernier est devenu beaucoup plus fréquent pour les patients admis à l’hôpital. En parallèle, après le plus fort de la vague épidémique, les opérations planifiées ont progressivement repris ». Des personnes contaminées par le SARS-CoV-2 et hospitalisées pour une crise d’appendicite ou un accident de la route ont ainsi pu être admises dans la base de données, sans pour autant avoir de symptômes majeurs liés au Covid-19.

Par la suite, une variable renseignant le motif d’hospitalisation a été ajoutée dans SI-Vic. Elle rend possible la distinction entre les patients hospitalisés pour Covid-19 et ceux admis pour un autre motif. Si cette donnée a été utilisée durant quelques mois dans les points hebdomadaires de SPF, elle a été retirée car elle « était extrêmement stable », explique l’agence. Pourquoi ne pas avoir remplacé les données hospitalières en accès libre par les informations extraites de cette nouvelle variable, plus précise ? N’aurait-il pas été possible d’ajouter une colonne dans ces fichiers utilisés pour alimenter les tableaux de bord de nombreux médias ? Interrogé, SPF répond que l’objectif était de « maintenir un système de surveillance stable dans le temps » et de faciliter les comparaisons avec d’autres pays.

Une distinction effectuée dans d’autres pays

Pourtant, la même question s’est posée chez nos voisins. En Espagne, le quotidien El Pais estimait le 14 janvier que, dans les indicateurs hospitaliers de suivi du Covid-19, entre 25 % et 40 % des patients étaient hospitalisés pour d’autres causes. Au Royaume-Uni, la part de personnes traitées principalement pour Covid-19 parmi toutes celles déclarées positives semble aussi en décrue, selon les données hospitalières publiées par le National Health Service. Mais il faut interpréter ces données avec prudence : il n’est pas toujours facile de distinguer ce qui est causé par le Covid-19 de ce qui ne l’est pas : la maladie pouvant générer un certain nombre de complications, la classification « avec » et « pour » Covid-19 n’est pas forcément évidente.

Malgré ces réserves, avoir en accès libre le nombre de patients hospitalisés en raison du Covid-19, et non plus seulement « avec » le Covid-19, permettrait d’améliorer le suivi de la situation en pleine vague d’Omicron. Il s’agit également d’une question de transparence. « Bien que cela ne change rien à la gravité de la situation dans les hôpitaux de l’Ontario, il est important de partager ces données pour fournir un contexte supplémentaire sur l’état de la pandémie », explique ainsi sur Twitter Christine Elliott, la ministre de la santé de l’Ontario (Canada), province où les données publiques font depuis quelques jours le distinguo entre les patients hospitalisés en raison du Covid-19 et ceux déclarés positifs mais admis pour d’autres motifs (47 %). En France, SPF assure suivre cet indicateur « quotidiennement » et annonce sa publication « en open data prochainement ».

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/01/19/covid-19-20-des-hospitalisations-ont-une-autre-cause-que-le-virus_6110118_4355770.html

alain_p

  • Abonné Free fibre
  • *
  • Messages: 16 755
  • Delta S 10G-EPON sur Les Ulis (91)
Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #9021 le: 20 janvier 2022 à 08:32:41 »
Guillaume Rozier, sur Twitter a un graphique intéressant, qui montre qu'alors que l'évolution des hospitalisations, réanimations et décès, suivaient jusqu'ici les mêmes tendances, ce n'est plus le cas depuis la vague Omicron, il y a maintenant un découplage entre hospitalisations, qui continuent à augmenter, et réanimations et décès, qui ont au contraire une tendance à la baisse.

https://x.com/GuillaumeRozier/status/1483526540231168002

Thornhill

  • Abonné SFR fibre FttH
  • *
  • Messages: 3 974
  • Saint-Médard-en-Jalles (33)
Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #9022 le: 20 janvier 2022 à 13:19:06 »
A propos de la stratégie des tests actuelle / fiabilité des autotests, quelques cas concrets rapportés par @SaiyanBio.


https://x.com/SaiyanBio/status/1483830331782356996


Les conseils municipaux, c’est avec une bonne ambiance dans les campagnes.
Avec l’apéro à la fin.
Et si on tousse, c’est pas grave.
Ou pas.

Un cas testé positif. Le conseil municipal a alors eu l’idée… d’appeler l’ARS (on rigole pas !). Qui leur a donné… des autotests (!)

Tous le conseil municipal s’est « autotesté »… 7 positifs sur 20.
Mais plusieurs autres avaient de + en + de symptômes…
Donc ils m’ont appelé pour qu’on fasse des PCR (j’ai été un peu directif et fuck l’ARS qui nous a bien mis le bouzin)

Tout est résumé dans ce bôô schéma :

1/ Sensibilité des autotests = 7/16 = 44% (à J7 du contact, à J5 ça donne 33%)
2/ Les 9 «faux négatifs» en autotests ont conduits à… 18 cas secondaires (pas d’autres cas dans le coin)
Tous variants Delta



Thornhill

  • Abonné SFR fibre FttH
  • *
  • Messages: 3 974
  • Saint-Médard-en-Jalles (33)
Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #9023 le: 20 janvier 2022 à 19:45:11 »
Parmi les annonces de Castex :

- le pass sanitaire devient pass vaccinal pour les +16 ans le 20/01
- ouverture de la vaccination dose de rappel pour les +12 ans (non obligatoire)

Sachant que :
- pass vaccinal = schéma vaccinal complet

=> j'en déduis que pour les 16-17 ans  ayant eu leur 2e dose il y a plus de 7 mois, ils ne sont pas obligés de recevoir leur dose de rappel pour que le pass vaccinal soit valable, du fait que pour eux le schéma vaccinal complet ne comprend pas de dose de rappel obligatoire

J'ai bon ou pas ?   :D