Auteur Sujet: Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie  (Lu 1199425 fois)

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alain_p

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Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #1272 le: 10 avril 2020 à 22:06:46 »
Sur les relations entre l'Inserm et les IHU, il y a un très intéressant article de Marianne, qui date de 2017, donc bien avant la polémique actuelle :

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...
La bataille du mari de la ministre

L'affaire, aussi technique que sensible, concerne la personnalité juridique des nouveaux Instituts hospitalo-universitaires (IHU). Ces structures ont été créées en 2010, sur les conseils d’Alain Juppé et de Michel Rocard, afin de stimuler la recherche médicale française. L’objectif était de fonder des centres de recherche de haut niveau échappant aux pesanteurs des structures existantes. Pour ce faire, ils bénéficient depuis leur création d’une personnalité morale, à savoir le statut de « fondation » indépendante qui leur donne des coudées franches. Or depuis des mois, l’Inserm, dirigé par le mari d'Agnès Buzyn, mène une bataille pour obtenir la fin de cette spécificité. En clair, pour prendre l'ascendant sur l'institution rivale. « Yves Levy a toujours voulu la peau des IHU, c’est un enjeu de pouvoir », a raillé un ancien ministre auprès du Canard enchaîné le 11 octobre.

Dans cette lutte de pouvoir au sein du milieu de la recherche médicale, l’Inserm a fait diffuser en septembre aux acteurs du secteur un « document de travail » plaidant pour la suppression de la personnalité morale des IHU et leur transformation en groupement d’intérêt scientifique. Avec un intérêt évident : si cette réforme avait lieu, l'Inserm retrouverait une position incontournable dans l’écosystème de la recherche hospitalière, puisque les IHU ne pourraient plus prendre de décisions importantes sans son accord.

Le 2 octobre, les ministres Agnès Buzyn et Frédérique Vidal (cette dernière est chargée de l’Enseignement supérieur) font connaître leur décision dans un communiqué : « Les projets soumis devront (…) proposer une gouvernance sans fondation support afin d’associer pleinement le CHU, l’université et l’organisme de recherche ». Traduction : les futurs IHU ne bénéficieraient plus du fameux statut de fondation, qui les rend si indépendants. Les ministres paraissent donc clairement avoir tranché en faveur de l’Inserm et d’Yves Levy.

Matignon joue sur les mots

Sauf que cette semaine, coup de théâtre : Matignon s'en mêle. L’entourage du Premier ministre assure à une agence de presse spécialisée dans le secteur médical, APMNews, qu’aucune décision définitive n’est prise sur ce sujet. Et ce, au prix d’une interprétation particulière de l'annonce de la ministre. Auprès d’APMNews, on explique ainsi que le communiqué ne signifie pas nécessairement que la personnalité morale des IHU va disparaître : « La décision relatée dans le communiqué de presse mentionne le statut de fondation de coopération scientifique, pas la notion de personnalité morale en tant que telle ». Autrement dit, d'autres structures juridiques spécifiques, toujours dotées de la personnalité morale, seraient encore envisageables.

Ce faisant, le cabinet d'Edouard Philippe paraît quelque peu jouer sur les mots… Son interprétation est en effet loin de ce qu'avait compris le président du jury international sur les IHU en personne, Richard Frackowiak. Après la décision ministérielle, ce neurologue suisse a démissionné, en laissant entendre que le lien entre Agnès Buzyn et Yves Levy n'était pas étranger à un choix qu'il a estimé "pas fondé du tout". "Il semble qu'au gouvernement, surtout au ministère de la Santé, il y a un problème avec l'autonomie de ces IHU" car celle-ci "n'est pas bien vue", a-t-il développé auprès d'APMNews. Avant de pointer le rôle de 'monsieur Buzyn' : "J'étais récemment à une réunion où le PDG de l'Inserm a été très clair" en disant "que ça ne lui convenait pas". Et cet expert mondial de la neurologie, indépendant dans ce dossier, de juger que cette affaire "n'est pas une très belle chose" pour "la réputation de la France".

Malaise au sommet de l'Etat

Toujours est-il qu'avec son numéro d'équilibriste, Matignon désavoue sa ministre sans entrer dans le problème du conflit d'intérêts. Car si la décision n’a officiellement pas encore été prise, Agnès Buzyn n'a pas tranché pour son mari. CQFD, le conflit d'intérêts s'est envolé ! Une stratégie qui tombe doublement à pic, au moment où les arguments d’Agnès Buzyn pour justifier sa position en faveur de l'Inserm commençaient à craqueler… Ce lundi 16 octobre, APMNews a en effet révélé que par exemple, le rapport de l’Igas cité par le cabinet de la ministre pour appuyer sa décision… ne recommande pas la suppression de la personnalité morale des IHU. Il se borne simplement à constater des tensions autour de cette question : « D’aucuns se sont même interrogés sur la nécessité d’accorder aux IHU une autonomie juridique, qui reste l’un des points de tension et de questionnement pour plusieurs interlocuteurs rencontrés pendant la mission, lesquels y voient un risque de multiplication des structures ».

La séquence laisse l’impression d’un malaise au plus haut sommet de l’Etat. Il aurait sans doute été plus simple pour la ministre de se déporter de ce dossier, comme le décret du 29 mai l'y encourageait. Sauf qu’Agnès Buzyn n’a pas interprété la situation sous cet angle, fait savoir son ministère. « Le dossier des IHU est plus large que celui de l’Inserm, et la ministre de la Santé était forcément impliquée », a ainsi estimé son cabinet auprès du Canard enchaîné. Décidément, cela fait beaucoup de textes aux interprétations flottantes.

https://www.marianne.net/politique/comment-matignon-tente-de-sortir-la-ministre-agnes-buzyn-d-un-embarrassant-conflit-d
Par Étienne Girard Publié le 19/10/2017 à 09:00

eruditus

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Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #1273 le: 10 avril 2020 à 22:32:18 »
Et les premiers résultats de l'étude Discovery pas avant fin Avril, après la vague...
..

Bah oui, la "sécurité" sanitaire a un prix.
On sera prêt pour la seconde couche (ou pas)  :)

ps : les études chinoises un peu sérieuse avec des cohortes importantes et un protocole scientifique sont prévues pour Mai/Juin il me semble.

vivien

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Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #1274 le: 10 avril 2020 à 23:00:07 »
Les mises à jour de mes données se font maintenant le soir, cela permet d'avoir les informations qui nous intéressent plus tôt.
Pour les pays Européens, pas de changement significatif entre les données à 21h00 et celles disponibles à 8h00.
Pour les états-unis par contre la journée n'est pas complète, les donnée du jour J sont donc partielles et sont complétées le lendemain. Les données à J-1 sont donc systématiquement corrigées pour coller aux données publiques.

A noter, l'amélioration du second graphique, crée par Daniel Goujot, qui corrige les variations hebdomadaires (baisse du nombre de décès le week-end dans plusieurs pays).

Autre point pour les deux courbes : Elles ne sont plus lissées, car cela entraînait des erreurs d'interprétation. Du coup les courbes sont maintenant des lignes brisées.


Statistiques sur la pandémie de Coronavirus COVID-19, rapportées au nombre d'habitants par pays, mis à jour tous les matins avant 9h.

Le suivi de la pandémie (jour N°1) débute dès qu’un pays dépasse 1 décès par million d'habitants.


Page N°1 du PDF : Graphique


Tableaux : Trois colonnes détaillent le nombre de décès par million d’habitants, pour chaque pays: Le nombre de décès du jour, la tendance mobile et le nombre total de décès.

La « tendance mobile » indique l’augmentation moyenne du nombre de décès. La valeur est exprimée en décès par million d’habitants par jour. L’augmentation moyenne est calculée sur les 4 derniers jours (jour J à jour J+3) avec pour référence les jours J-1 à J-3. Zéro indique une stabilité dans le nombre de décès sur les huit derniers jours.

Le nombre de cas confirmés de COVID-19 n’est pas pris en compte dans cette étude, car il est, beaucoup plus fortement que le nombre officiel de décès, dépendant de la politique de chaque pays, par exemple sur la réalisation des tests.

Page N°2 du PDF : Tableau comparatif des pays 1/2

(cliquez sur le tableau pour zoomer, le tableau est difficilement lisible sans zoom)


Page N°3 du PDF : Tableau comparatif des pays 2/2


Page N°4 du PDF : Détails pour la France


PDF du jour : https://lafibre.info/images/doc/202004_statistiques_covid-19_10avril2020.pdf

Lien permanent vers la dernière version du PDF (mis à jour tous les soir vers 22h00) : https://lafibre.info/covid19


Lien permanent vers le fichier source : (fichier LibreOffice Calc, lisible avec Microsoft Excel) :
statistiques_covid-19.ods

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Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #1275 le: 11 avril 2020 à 07:58:26 »
Sur le passé du professeur Raoult, il y a un article très intéressant de Médiapart. On y retrouve justement des éléments lié à cet agrément de l'INSERM.

Le site est en accès libre ce week-end.

Mediapart a voulu comprendre la défiance du monde médical et scientifique à l’égard de Didier Raoult, son principal promoteur. Nos recherches nous ont permis de découvrir des rapports et des témoins qui pointent des résultats scientifiques biaisés et des financements opaques.

Il est impossible de savoir si le traitement à la chloroquine permettra un jour d’abattre le Covid-19. Une chose est cependant sûre : le débat qui fait rage au sein de la communauté scientifique se cristallise autour de Didier Raoult, grand apôtre de ce traitement, qui se présente comme la victime de l’intelligentsia scientifique parisienne liée à l’industrie pharmaceutique.

Il est vrai que rarement un professeur de médecine aura été aussi critiqué. Sauf que ces critiques ne viennent pas de nulle part, comme l’a découvert Mediapart en se plongeant dans le passé de l’infectiologue. Des résultats biaisés, des méthodes peu scrupuleuses et une opacité dans les financements des travaux nourrissent le dossier de ses contempteurs.

Didier Raoult, en dépit d’une brillante carrière, s’est vu privé en janvier 2018 du label du CNRS et de l’Inserm, deux de ses établissements de tutelle. Mediapart a pu consulter les deux rapports scientifiques qui ont conduit à ce retrait. Instruits en janvier 2017, par le Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (HCERES), autorité administrative indépendante, ils sont le fruit du travail d’une quinzaine de chercheurs européens venant notamment du University College de Londres (UCL), de l’Institut Bernhard Nocht de médecine tropicale de Hambourg ou de l’Institut Pasteur.

Ces études dressent un bilan sans concession de l’Urmite, le fameux laboratoire de recherche de Didier Raoult sur les maladies infectieuses et tropicales (scindé depuis cet audit en deux unités, Mephi et Vitrome).

Selon les évaluateurs, faute d’analyse épidémiologique, de vérifications et de recherches approfondies, le travail de certaines équipes de son unité n’apporte pas de « bénéfice scientifique ».

Concernant la « qualité scientifique et la production » de l’unité Mephi (pour « Microbes, évolution, phylogénie et infection »), dédiée notamment à l’identification de nouvelles bactéries et virus, les évaluateurs regrettent que la priorité soit donnée au « volume de publications plutôt qu’à leur qualité ». Si l’unité du professeur Raoult a été à l’origine de plus de 2 000 publications entre 2011 et 2016, « seules 4 % d’entre elles l’étaient dans des revues de haut impact international », précisent-ils.

Par ailleurs, le « manque d’expertise dans des domaines clefs », en particulier « en épidémiologie », entraîne des essais cliniques mal conduits et des études biostatistiques approximatives. En résumé, les découvertes ne donnent lieu à aucune recherche approfondie permettant de connaître par exemple les effets d’un virus sur le corps humain.   


https://www.mediapart.fr/journal/france/070420/chloroquine-pourquoi-le-passe-de-didier-raoult-joue-contre-lui

Nico

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« Réponse #1276 le: 11 avril 2020 à 08:09:03 »
Plus léger (quoique), Apple et Google s'associent pour mettre en place une solution anonyme de tracking basées sur le Bluetooth.

La solution telle qu'elle est présentée me semble pouvoir répondre aux craintes sur la vie privée engendrées par le "tracking" tout en permettant de toucher un maximum de monde.

Jojo78

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Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #1277 le: 11 avril 2020 à 09:28:40 »
La présentation faite de cette solution apple/google semble effectivement compatible avec le respect de la vie privée.

underground78

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Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #1278 le: 11 avril 2020 à 09:52:32 »
Il y a un article de NextInpact sur le sujet du tracking où l'anonymisation n'apparaît pas forcément comme la solution miracle : https://www.nextinpact.com/news/108886-covid-19-pourquoi-contact-tracking-ne-fonctionnera-probablement-pas.htm.

alain_p

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« Réponse #1279 le: 11 avril 2020 à 09:57:02 »
Voici le dernier graphique de John Burn-Murdoch sur le nombre de décès par jour, moyenné sur 7 jours. Le plateau se confirme pour la France, l'Allemagne semble toujours en augmentation.

alain_p

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« Réponse #1280 le: 11 avril 2020 à 10:14:20 »
Sur le passé du professeur Raoult, il y a un article très intéressant de Médiapart. On y retrouve justement des éléments lié à cet agrément de l'INSERM.

En ce qui concerne l'évaluation de l'HCERES de 2017, citée par Mediapart, il vaut mieux revenir à la source, le rapport lui-même, avec le global assessment (le bilan global). Après, je ne dirai pas que tout est parfait, mais c'est quand même une unité de très bonne réputation, et ce n'est pas par hasard que les IHU ont gagné le plus gros financement jamais donné par l'ANR pour financer la construction des IHU. Ce n'est pas le rapport de l'HCERES qui explique le retrait de l'Inserm et du CNRS.

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2 Assessment of the unit

Global assessment of the unit

At the 2012 evaluation URMITE had 12 teams researching a broad remit covering clinical infection, epidemiology and tropical disease. The current proposal reflects the separation of URMITE into two units MEPHI and VITROME, MEPHI is focussed  on  the  evolutionary  biology  of  infection  (primarily  bacteria)  with  a  focus  on  emerging  infections  and  antimicrobial resistance.

URMITE teams forming the future MEPHI have an excellent track record with a strong publication record as well as evidence  of  knowledge  transfer  and  translation  to  clinical  settings.  The  future  unit  has  a  well  established  model  for  investigation of new and emerging infections. MEPHI teams have an excellent technological and intellectual platform for the research proposed. The research community includes a good distribution of disciplines and expertise. There is a clear progression  for  new  scientists  to  be  developed  through  masters,  doctoral  and  post-doctoral  studies.  The  unit  is  well  funded  with  support  from  regional,  national  (CNRS,  Inserm,  IRD)  and  international  (FEDER)  bodies.  Members  of  MEPHI  have won competitive funding from ANRS.

The reputation of the unit rests heavily on Mr Michel DRANCOURT and Mr Didier RAOULT, and the continued success of MEPHI  will  require  the  development  of  junior  members  of  the  unit  as  leaders,  not  only  in  the  administrative  tasks  but  importantly in the future scientific direction of MEPHI.

The portfolio presented is predicated on a well developed pipeline of technological tools and application of these to broad questions. As indicated in the previous (2012) assessment, they should consider more fundamental hypotheses-driven questions. In the previous contract there were seven teams and these have been re-aligned and expanded to nine teams  in  the  current  proposal.  Inclusion  of  the  team  “Evolutionary  Biology”  acknowledges  the  need  for  biological  computational  expertise  in  the  unit  and  development  of  the  teams  “Cardiovascular  Infections”  and  “Innovative  approaches  to  understand  and  control  contagion  in  hospital”  provides  research  that  is  directly  clinically  relevant.  The  team “Human, animal and environmental (mega) viromes within microbiota” is a logical combination of two teams from the previous contract and builds on the success of these team leaders. 

In the proposal, great emphasis is placed on translational  research,  the  teams  addressing  clinical  studies  are  relatively  small  and  there  is  a  risk  that  the  opportunity  to  undertake  valuable  fundamental  research  is  missed  as  the  primary focus is on clinical intervention studies.

Overall, this is an excellent unit drawing together expertise of international standing. However, care must be taken to ensure that there is a clear vision and unity of purpose to advance the science proposed

https://www.hceres.fr/sites/default/files/media/publications/depot-evaluations/C2018-EV-0134009M-DER-PUR180014802-020145-RF.pdf

Jojo78

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« Réponse #1281 le: 11 avril 2020 à 10:36:41 »
Bah s'il mène toutes ses études comme il l'a fait avec son remède au covid, çà craint un peu quand-même.

lechuck

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Coronavirus Covid-19: Suivi de la pandémie
« Réponse #1282 le: 11 avril 2020 à 11:22:50 »
J'espère que la France adoptera la solution d'Apple et Google, et n'essaiera pas de passer par un prestataire externe qui va faire du travail de m....
D'autant plus que je ne pense pas qu'Apple permette à une application lambda de consommer du bluetooth (même en 4.0 puisque c'est du iBeacon) 100% du temps. Il n'y a qu'une application estampillée Apple qui peut fonctionner parfaitement et sans interruption sur iOS.

alain_p

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« Réponse #1283 le: 11 avril 2020 à 11:24:47 »
Et la portée du bluetooth, c'est combien ? j'ai toujours entendu dire que c'était une courte portée, ~50 cm.