Auteur Sujet: Serrures NFC iLOQ S50 pour sécuriser les PMZ Nexans  (Lu 62251 fois)

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Myck205

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Serrures NFC iLOQ S50 pour sécuriser les PMZ Nexans
« Réponse #156 le: 31 juillet 2021 à 20:07:16 »
Oui en soit ça semble propre (ou nettoyé).

Il y a une campagne de remise en conformité des pm, chaques opérateurs passent remettre au propre ses jarretières.

fabtra31

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Serrures NFC iLOQ S50 pour sécuriser les PMZ Nexans
« Réponse #157 le: 31 juillet 2021 à 22:10:37 »
Orange doit faire un gros taff je pense :/ parce que sur Tarbes ya du boulot, vraiment...

Bulldozer

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Serrures NFC iLOQ S50 pour sécuriser les PMZ Nexans
« Réponse #158 le: 04 août 2021 à 13:57:35 »
C'est du Iloq ? C'est marqué Idips

targer

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Serrures NFC iLOQ S50 pour sécuriser les PMZ Nexans
« Réponse #159 le: 16 décembre 2021 à 15:00:19 »
L'ouverture avec un pied de biche est toujours possible.


Myck205

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Serrures NFC iLOQ S50 pour sécuriser les PMZ Nexans
« Réponse #160 le: 16 décembre 2021 à 18:47:08 »
L'ouverture avec un pied de biche est toujours possible.

Comme n'importe quelle serrure sur un PM... Sauf que la serrure iloq n'est qu'un élément parmi d'autres qui permet de contrôler le passage des techs.

vivien

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« Réponse #161 le: 16 décembre 2021 à 20:48:16 »
Surtout avec iLOQ S50 et les autres éléments comme le détecteur de porte ouverte, il y a intervention du service de sécurité ou de la police dés qu'une porte est ouverte sans avoir fait de demande via l'application iLOQ.

Toutes les ouvertures sont remontées au réseau (via capteur Lora) et si il n'y a pas eu une demande d'un smartphone pour l'ouverture, cela veut dire que la porte vient d'être forcée et donc on interpelle la personne en flagrant délit.

targer

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« Réponse #162 le: 17 décembre 2021 à 09:44:57 »
@vivien, je ne pense pas que la police se déplacera pour un forçage de porte de PMZ.
Elle est déjà bien occupée avec la petite délinquance, alors la fibre ...

La solution c'est l’arrêt du mode STOC, et donner l’accès à un seul gestionnaire. Comme pour l’électricité avec ENEDIS.

Actuellement l'ARCEP cherche des solutions en oubliant le bon sens.


vivien

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« Réponse #163 le: 17 décembre 2021 à 09:56:34 »
Dans l’expérimentation, la police se déplace en dehors des heures ouvrées (pour les heures ouvrées, il y a une société privée qui fait ce travail).

On voit que la police peut mettre de gros moyens, par exemple pour surveiller des antennes 5G qui ont un risque d'être incendiées, tout est politique.

targer

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« Réponse #164 le: 17 décembre 2021 à 09:59:02 »
Perso je n'y crois pas vraiment. L'avenir nous donnera la réponse :)

Myck205

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« Réponse #165 le: 17 décembre 2021 à 12:43:00 »
Perso je n'y crois pas vraiment. L'avenir nous donnera la réponse :)

C'est des faits, donc bon...

vivien

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« Réponse #166 le: 17 décembre 2021 à 13:41:02 »
Je me cite :

Petite précision :  Dans le cadre de cette expérimentation Orange à Meaux, un rondier intervient lorsqu'un technicien rencontre un problème pour ouvrir la porte (tous les téléphones NFC ne sont pas compatibles avec iLOQ S50). Depuis le 25 janvier, une effraction a pour le moment été constatée, sur l’armoire située rue de Senlis.

La journée, c'est la société Uniprotect qui accompagne et surveille les points de mutualisation. Ils interviennent en cas d'effraction dans la journée. La nuit cette tâche, en cas d'effraction (porte ouverte sans automatisation reçu via iLOQ S50), l’intervention est confiée par la supervision à la police municipale.

Ce sont des process pour un POC (Proof of concept). Si la solution est industrialisé, les choses seront probablement différentes.


Pour les antennes 5G voici un article publié par un journal anti-5G, reporterre.net :

Contre les saboteurs, l’État sort l’artillerie lourde

Prison ferme, surveillance, téléphones sur écoute... La répression s’accentue contre les saboteurs d’antennes relais. Pour les stopper, les autorités sont passées à la vitesse supérieure. Quitte à faire un parallèle avec le terrorisme et à museler le débat sur la 5G.

Des peines de prison ferme, des gardes à vue « anti-terroristes » qui peuvent durer 96 heures, la cellule de gendarmerie Oracle spécialement dédiée aux sabotages... Les centaines d’attaques contre les infrastructures de télécommunication opérées ces dernières années donnent des sueurs froides aux autorités. Elles déploient un arsenal répressif pour y faire face. Au sommet de l’État, la menace est prise très au sérieux.

Laurent Nuñez, l’ancien bras droit de Christophe Castaner, devenu coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme, en a fait l’une de ses priorités. Dès janvier 2021, il dénonçait « une succession d’actions de basse intensité » et « une montée en gamme de la violence ». Contre ces sabotages, il insistait sur « l’importance d’un échange très étroit entre services de police et de gendarmerie, services de renseignement et services judiciaires ». À plusieurs reprises, les membres du gouvernement ont dénoncé ces attaques « criminelles », qui « coupent les populations de services vitaux ». « Ces actes doivent être punis sévèrement », insistait le secrétaire d’État au numérique Cédric O.

Au total, pas moins de quatorze enquêtes judiciaires ont été menées, aboutissant à une trentaine d’interpellations. Des moyens importants ont été mis en place. Dans le Nord, deux hommes de 21 et 29 ans ont été condamnés respectivement à neuf mois et un an de prison ferme pour avoir incendié une antenne-relais à Douai. À Nancy, un jeune anarchiste a également été condamné à quatre ans de prison, dont la moitié derrière les barreaux, pour l’incendie de deux antennes. Dans le Jura, deux hommes ont aussi été condamnés à trois et quatre ans de prison ferme.

Les peines sont lourdes, mais la plupart des affaires de sabotages restent encore irrésolues et leurs auteurs courent toujours. Pour y mettre un coup d’arrêt définitif, les autorités ont donc décidé de passer à la vitesse supérieure.

Des suspects surveillés

Depuis le mois de mars, une convention nationale a été signée entre l’État, les opérateurs et les forces de l’ordre afin de lutter contre « les actes de malveillance sur les réseaux de télécommunication ». La convention prévoit d’améliorer les échanges d’informations et de faciliter le dépôt de plainte. « L’enjeu est de pouvoir travailler en amont pour prévenir les actes de vandalisme et en aval pour relever les preuves afin de pouvoir rétablir rapidement le service », explique à Reporterre Michel Combot, directeur général de la Fédération française des télécoms.

Pour l’instant, une dizaine de départements ont mis en place cette convention (Oise, Morbihan, Meuse, Hautes-Alpes, Eure, Vaucluse, Drôme, Ille-et-Vilaine, Ardèche). Concrètement, elle prévoit d’améliorer la sûreté des installations les plus sensibles en durcissant leur accessibilité et en installant par exemple des systèmes de vidéoprotection et de Lapi (lecture automatisée des plaques d’immatriculation). Des patrouilles plus fréquentes de gendarmes sont également attendues. Mais la tâche paraît démesurée au regard du nombre et de la dispersion des antennes-relais.

Du côté des opérateurs de téléphonie, l’inquiétude gagne. La direction d’Orange est allée jusqu’à traquer les membres d’un groupe intranet baptisé « Je suis vert », qui avaient eu des débats internes sur les avantages et les inconvénients de la 5G. Des investigations ont été menées afin de savoir si les membres de ce groupe auraient pu avoir des liens avec les saboteurs. « Ils ont malmené nos adhérents pour savoir s’ils étaient connectés à des personnes prises en flagrant délit ou soupçonnées d’avoir détruit des infrastructures 5G », assure Sébastien Crozier, président de la CFE-CGC d’Orange.

Les autorités misent donc, en priorité, sur la surveillance. Une nouvelle cellule d’enquête spécialisée de la gendarmerie a été créée — la cellule Oracle —, qui vise à prévenir les dégradations contre ces infrastructures. Peu de données circulent publiquement à propos de cette cellule, de ses financements et de ses moyens humains, mais en octobre 2020, Christian Rodriguez, le directeur général de la gendarmerie nationale (DGGN), a tout de même vanté son bilan auprès des députés. Il l’a comparé à la cellule Déméter, qui surveille les opposants à l’agriculture industrielle. Sollicitée à plusieurs reprises sur ce sujet reconnu comme « sensible », la gendarmerie n’a pas souhaité répondre à nos questions.

Caméras, téléphones sur écoute, traceurs GPS...

Des articles de presse relatent toutefois déjà les premiers succès de cette cellule. À plusieurs reprises, ses membres ont pu retrouver l’ADN de certains saboteurs, des gendarmes ont également mis sous écoute de nombreux suspects.

À Besançon, dans l’affaire de Boris — un jeune homme se déclarant anarchiste et ayant incendié deux antennes-relais sur le mont Poupet —, les gendarmes auraient placé des caméras de surveillance devant son domicile et des GPS sous les voitures de ses proches. Ils auraient également pris en filature plusieurs personnes au cours de l’été 2020. Une fois Boris condamné, les militaires auraient même convoqué certains de ses amis à la gendarmerie pour récupérer les balises GPS accrochées sous leur voiture. Dans une lettre, Boris est revenu en détail sur ces éléments de l’enquête et explique les raisons politiques qui l’ont mené au sabotage. Deux mois plus tard, suite à un incendie dans sa cellule, le jeune anarchiste a été gravement brûlé et placé en coma artificiel, sous soin intensif. Il vient à peine d’en sortir, en octobre.

En Haute-Vienne, suite à la dégradation de l’antenne des Cars, les autorités ont aussi mis en place des moyens très importants. Des écoutes téléphoniques ont touché de nombreuses personnes de réseaux militants sur le plateau des Millevaches. Le 15 juin 2021, quatorze personnes ont été interrogées et perquisitionnées, six d’entre elles ont été placées en garde à vue. Certaines sont poursuivies pour destruction par l’effet d’une substance d’explosive d’un engin dangereux en bande organisée, destruction qui est de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation et association de malfaiteurs. Les gendarmes sont remontés jusqu’à eux en écoutant les réunions d’un groupement forestier auquel les suspects participaient. Cette association rachète des parcelles de forêts pour les gérer hors des pratiques agro-industrielles. D’autres associations, comme le groupe de réflexion Gramsci à Limoges ou encore une chorale militante, ont été particulièrement surveillées.

Vers des peines plus lourdes ?

Pour mener les interpellations, les autorités ont mobilisé la sous-direction antiterroriste de la police nationale qui s’était déjà illustrée en Haute-Vienne lors de l’affaire Tarnac. Cette référence au terrorisme n’est pas nouvelle. Depuis plusieurs mois, élus, politiques et magistrats tentent de faire le parallèle entre ces actions et « des attentats terroristes ». À chaque sabotage, le procureur de Grenoble, Éric Vaillant, tente de saisir le parquet antiterroriste de Paris. « L’article 421-1 du Code pénal qualifie de terroristes certaines infractions commises dans le but de troubler l’ordre public par l’intimidation ou la terreur. J’estime que cela a pu concerner les dégradations d’antennes-relais », déclare-t-il à Reporterre. Pour l’instant, le parquet antiterroriste de Paris a décliné ses demandes. Au grand regret du procureur : « Il y a une augmentation permanente du nombre de faits attribués à la mouvance d’ultra gauche, il y a un mouvement national et il y a beaucoup de faits sur le ressort de Grenoble : cela justifierait cette qualification terroriste », affirme-t-il.

À défaut, des parlementaires envisagent de durcir les peines de prison pour mettre un coup d’arrêt définitif à ces sabotages. Actuellement, la dégradation d’une infrastructure de télécommunication est sanctionnée de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende [1]. Des sanctions sont également prévues par le Code des postes et des communications électroniques (CPCE) : 1 500 euros pour dégradation du réseau (article 65), ainsi que deux ans de prison et 3 750 euros d’amende en cas d’interruption volontaire des communications électroniques (article 66).

Une proposition de loi du groupe Les Républicains (LR) a été déposée en juin 2020 pour introduire une circonstance aggravante au délit de vandalisme, en portant à cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende les sanctions encourues. Un sénateur, Patrick Chaize (LR), est particulièrement engagé dans cette bataille. Il est aussi le président de l’Avicca (Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l’audiovisuel). Il a déposé un amendement au texte de la loi sécuritaire du gouvernement qui a été déclaré irrecevable.

« La faiblesse des peines encourues et de leur aménagement ne sont pas dissuasives et donc pas de nature à freiner les appels à la désobéissance civile sur les nouvelles implantations d’antennes, explique-t-il à Reporterre. Quand il y a des actes de vandalisme en dehors du droit et de la loi, il me semble normal qu’on les punisse lourdement pour dissuader. Cela me met hors de moi que le monde économique et les administrés qui n’ont rien demandé soient pris en otage par une action individuelle qui n’a pas de sens. »

Le complotisme, pour discréditer les saboteurs

La référence à l’irrationalité de ces gestes est d’ailleurs très courante. Les médias mainstream et les autorités s’engouffrent allégrement dans la piste du complotisme pour dépolitiser les raisons qui poussent des dizaines de personnes à s’attaquer aux antennes-relais. C’est un autre aspect de la répression en cours, tout est fait pour isoler et discréditer ces luttes contre la numérisation du monde.

Certains profils de saboteurs ne leur donnent pas tout à fait tort : en septembre dernier, deux moines intégristes ont été arrêtés ; à Paris un illuminé a aussi été interpellé après avoir saboté vingt-six antennes sur les toits de la capitale. Mais ces individus ne peuvent résumer à eux seuls la dynamique en cours. De nombreux sabotages sont revendiqués et réfléchis politiquement comme en témoignent plusieurs textes ici ou là.

Taxer de complotistes ses opposants est une manœuvre de communication qui permet « d’isoler l’ennemi en révolte et de dépolitiser sa lutte », estiment certains militants proches des saboteurs. « Nous ne sommes ni des ignares ni des enfants à rééduquer. Nous ne sommes pas des bouseux opposés aux lumières de nos chefs d’État, nous incarnons un pôle antagoniste aux intérêts marchands, que l’autre camp n’aura de cesse de vouloir discréditer », écrivent-ils.

Pour l’historien des sciences François Jarrige, l’utilisation du concept de complotisme sert « à faire disparaître une certaine parole populaire » : « Avant c’était plus simple, le pouvoir pouvait dénoncer l’ignorance crasse du peuple qui n’avait pas compris le sens du progrès. Aujourd’hui, on n’ose plus le dire aussi frontalement, on exprime cette idée de manière plus métaphorique, plus subtile », précise-t-il à Reporterre.

En creux, c’est le débat public qui est empêché, toute marque de soutien à l’action directe devant être poursuivie afin d’invisibiliser ces actes de sabotage. Plusieurs médias indépendants en ont fait les frais. Reporterre le racontait en mars avec l’affaire Ricochets. Ce média local passera le 25 janvier prochain au tribunal pour « apologie publique de crime ou délit ». Il avait publié un texte en solidarité avec les incendiaires d’un poste répartiteur d’Orange en périphérie de Crest, dans la Drôme. « Les auteurs du texte évoquaient les conséquences écologiques de l’économie numérique, raconte un administrateur du site. Ils parlaient des manières d’y faire face, dans une époque où nous sommes tous confinés et où l’État et les industriels avancent à marche forcée. À Ricochets, nous pensions que cet article ouvrait une discussion légitime. »

Une élue d’Europe Écologie-Les Verts (EELV), Sylvie Bonaldi, a aussi fait l’expérience de cette omerta. En septembre 2020, elle avait déclaré à la presse approuver l’incendie de l’antenne-relais 5G de Contes, à proximité de Nice. Le soir même, face à la pression, Sylvie Bonaldi avait dû revenir sur ses propos et s’était déclarée contre toute forme de violence. « C’est une forme d’autocensure, reconnaît-elle aujourd’hui à Reporterre. Je voulais éviter que la polémique enfle et me retrouver ainsi sous le coup de poursuites judiciaires. L’absence de débat instaure un régime de contrôle de la parole, c’est très difficile de sortir de la doxa. » Elle nous confie cependant continuer à approuver à 100 % ces sabotages, sans pouvoir le dire partout « sous peine d’être calomniée ».

Malgré la répression juridique, le dénigrement politique et médiatique, les sabotages se poursuivent. Sur notre carte des sabotages en France, nous en avons recensé neuf en novembre dernier. Cela n’étonne pas l’historien François Jarrige : « Les enjeux climatiques et écologiques vont aider à repolitiser ces infrastructures techniques, qui depuis deux siècles, à l’ère du capitalisme industriel, n’ont cessé d’être dépolitisées. »


Source : reporterre.net, le 17 décembre 2021.

targer

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« Réponse #167 le: 17 décembre 2021 à 13:56:59 »
Durant des expérimentations, je peux comprendre que cela soit efficace, car l'expérimentation se déroule en mode projet avec une zone restreinte.
Mais sur un pays entier cela reste du fantasme.

La police n'aura pas les moyens de s'occuper des PMZ. Les députés peuvent faire toutes les lois qu'ils veulent, tant que le mode STOC et cette sous-traitance accrue existera, alors il y aura des malfaçons.
L'idée serait de faire payer les réparations aux OC. Cela pourrait faire en sorte de limiter la sous-traitance et de faire en sorte que les OC sélectionnent des sous-traitants qualifiés et certifiés. Pourquoi ne pas obliger les techs d'avoir une attestation de capacité renouvelable chaque année pour pouvoir travailler ? comme cela est le cas dans d'autre domaine (froid industriel).

Enfin, les sociétés de sécurité arriveront après dégradations (comme pour les sociétés de télésurveillance) et ne pourront que constater les dégâts.