Salut,

en créant une VM oui

Tiens ça me fais penser à un truc.

Ce serais possible de faire une VM spéciale lafibreinfo (facile d'installation) pour les possesseur de Delta qui fasse (de jour comme de nuit toutes et les 15-30 min) des speedtest vers des dizaines de destinations dans le monde (serveurs de jeux/Netflix/Prime/GeforceNow/YouTube/Apple/etc/etc) et qui remonte les infos sur un serveur (avec localisation, horodatage et tout le tintouin).

C'est pour avoir des mesures concrètes sur le peering/transit et les liens de Free dans toute la France et vers l'international et pas uniquement des beaux speedtest bien optimisés (lien direct Free vers les serveurs) de Nperf et Ookla qui ne servent en fait à rien sinon de juste montrer que l'on a la plus grosse sur le réseau intranet Free, comme les autres OCEN bien sûr.

Vivien, Kgersen (connaisseurs Iperf), qu'est-ce que vous en pensez, depuis le temps que je le demande (pour le bien des Freenautes) ?

Bonjour,

J'ai fait un peu de modération.

Il me semble qu'une VM a un accès 10Gb/s.

Si c'est confirmé, c'est un point neutre intéressant pour faire des tests vers le PC du client (sous responsabilité du client) et vers internet (responsabilité du FAI).

J'aimerais bien faire un tutoriel, mais je n'ai pas de Freebox Delta, donc il faudra qu'une personne le fasse à ma place. Maintenant c'est assez simple.

Je conseille de partir sur une VM Ubuntu la plus récente, d'installer ieperf3 : sudo apt install iperf3 et de faire des tests vers des cibles sur internet et vers le PC qui est en mode serveur (ou depuis le PC vers la VM qui est en mode serveur)

Mode serveur : iperf3 -s
Mode client upload : iperf3 -c 192.168.1.33
Mode client download : iperf3 -c 192.168.1.33 -R

Je confirme, à mon avis l'élément le plus limitant est le CPU, qui est rappelons le un ARM, donc on va être limité par la puissance du CPU.

Comme l'analysait NextInpact :

Si le projet n'a jamais vu le jour, c'est finalement à travers des machines virtuelles que l'on peut désormais utiliser le boîtier Server de la Freebox Delta comme un ordinateur où l'on peut installer tout ce que l'on souhaite... dans la limite des performances de la machine. Pour l'utilisateur, la différence principale entre les deux approches est là.

Comme nous l'avions vu lors de notre analyse du boîtier, il intègre en effet un simple SoC à quatre cœurs ARMv8, l'Armada 8040 (88F8040) à base de Cortex-A72, gravé en 28 nm. Il est accompagné de 2 Go de DDR4 ECC, soit cinq puces de 512 Mo Samsung K4A4G165WE-BCRC à 2 400 MHz (timings 17-17-17) basse consommation (1,2 V).

C'est performant pour un boîtier de ce genre, mais on se retrouve avec l'équivalent d'un Raspberry Pi 4 qui intègre lui aussi un SoC à quatre cœurs Cortex-A72, jusqu'à 4 Go de mémoire et un lecteur microSD pour le stockage. L'un des intérêts de l'approche de Free est là : l'accès au stockage local de la Delta, jusqu'à quatre HDD/SSD en RAID.

https://www.inpact-hardware.com/article/1126/freebox-os-4-1-dessous-machines-virtuelles-dans-freebox-delta

Il ne faut pas compter arriver à 10 Gb/s avec une configuration comme celle-là, d'autant que c'est partagé avec le fonctionnement de la Delta elle-même. D'ailleurs Free a limité l'allocation à deux coeurs par les VMs.
A noter que personnellement, j'ai remplacé la barrette de Ram à 2 Go, contre une à 8 Go, donc ce n'est pas la Ram le facteur limitant.