Tout dépends de qui on met à la tête des institutions.
Si c'est un juriste au CSA, on peut attendre que les choses bougent pas trop, ils se confortent avec les lois existantes et faire de modifications aux cadres réglementaires cela demande du temps et de l'énergie.
Emmanuel Gabla avait fait un bon travail, ensuite j'ai pas trop suivi.