D'accord sur la régulation mais tu oublis l'aspect économique: "mette en place les moyens" s'il faut minimum 10k employés pour cela ca ne tient pas économiquement. Sans parler de la non neutralité de ces 10k employés, etc
Si la viabilité de ta boite repose sur le fait de s'en taper de la loi, alors ta boite ne devrait pas exister.
Le patron du bar ne peut a lui seul calmer tous les alcoolos y'en a trop donc soit il fait payer l'entrée pour recruter des videurs ou filtrer qui entre, soit il demande aux autres clients du bar d'aider a calmer les alcoolos ou "autre solution a trouver".
Comme par exemple demander aux états de chaque pays de financer une 'police' dans chaque bar ?
Ben pareil que chez toi. On met pas un flic dans chaque maison pour empecher que le mari tue la femme.
La solution "forte de régulation" de l'EU avec le DSA c'est au patron "de mettre en place les moyens", a mon avis, ceci ne marchera pas bien surtout s'ils sont dans le conflit ouvertement public comme Thierry Breton (TB) fait pour des raisons politiciennes au lieu d'avoir une approche plus sérieuse et collaborative avec les plateformes.
Twitter n'est pas un bar, où les horreurs qu'un simple mec bourré peut dire n'impactera que les 3 autres mecs bourrés avec lui.
Donc oui à twitter de se demerder.
Le risque est simplement d'agraver la destruction de la société (deja bien entamé par d'autres choses que les RS).
Moi, je considère les réseaux sociaux (Twitter ou les autres) comme un Service Public dans le sens ou il offre un réel service au plus grand nombre. De fait, si collectivement, nous voulons de la qualité, il va falloir payer, comme nous le faisons avec taxes et impôts pour assurer des services essentiels.
Mama mia, quelle horreur.
Je ne veux pas que l'etat participe a se genre de fadaises. Reguler et mettre des gardes fou oui, mais rien d'autre.
Regarde le modèle de certains quotidiens français. Xavier Niel est propriétaire du Monde, il assure financièrement, mais ne met pas le nez dans les contenus (la qualité des contenus n'est pas le sujet). La rédaction est organisée de telle façon que le proprio peut difficilement intervenir. Bien sur cela ne préjuge en rien de la qualité du journal. Mais le patron n'est pas juge et partie.
C'est parce que c'est son choix, il n'a aucune obligation à faire cela. Il s'organise comme il veut pour que son business fonctionne avec ses clients, rien d'autre.
Pour BFM : le sujet du jour est Twitter. D'accord, les problèmes existent ailleurs, entièrement d'accord. Mais Musk se veut clivant et veut "cheffer", forcément aujourd'hui dans une société démocratique cela ne fonctionne plus comme cela (en partie grâce aux réseaux).
Evidement qu'un chef doit cheffer, surtout dans une entreprise, et la democratie ? dans une entreprise ? C'est pour rire ou t'es vraiment a coté de la plaque ?
Et plus generalement dans la 'société', ben justement la democratie est en declin (et en partie a cause des RS en plus) : meme minoritaire, chacun pense qu'il a raison et que du moment qu'il gueule fort cela justifie toutes les infractions à la loi.
Musk est contesté fortement. Plus personne ne va le lâcher et c'est tant mieux, le contraire serait aller à l'encontre de la liberté d'expression. Bref, cela fait partie du jeu.
Tu es completement manipulé
Musk est contesté de rien du tout, tu ne vois pas que c'est lui qui agite le chiffon rouge pour faire reagir les benets ?
Essaye juste d'imaginer qu'il n'avait rien dit depuis 1 an.