La municipalité a toujours un peu sur-estimé son réseau , en particulier l’appétence des abonnés potentiel dans une zone où le THD est déjà présent en VDSL, en rejetant la "faute" sur la mauvaise commercialisation par le FAI. Les zones avec un faible débit DSL ne sont pas desservies en FTTH.
K-net à l'époque n'avait pas réussi à aboutir à un accord financier avec Sallanche (et après Limeil-Brevanne était "un peu" prudent sur les promesses des maires, m'voyez... )

A mon avis c'est sans doute le sens de la remarque : "Et, au bout d’un an et demi, il a refusé de prendre en charge l’investissement dans les infrastructures."

Comme je l'ai écrit, c'est sur qu'après le fiasco de limeil-brevanne, moi je les comprends. Qu'est ce qui se passerait si, d'aventure, Orange attaque en justice la régie et fait geler les déploiements ? Bon c'est moins le cas aujourd’hui mais entre 2013 et fin 2017 on en parlait souvent.

• celle entre le Val d’Orge (91) qui a signée une DSP avec Covage alors que les villes étaient des zones AMII, si bien qu'il y a un déploiement très bizarres entre des villes fibrées par Covage, d'autres par SFR et des villes fibrées par SFR avec des petites zones Covage en périphérie.
• Tubéo en Moselle car son réseau construit par Tutor n'était pas compatible avec ceux des Orange (d'où plainte d'Orange puis règlement à l'amiable)
• Limeil-Brévannes que tu as citée où un RIP a été construit alors qu'elle était une zone AMII SFR

Tu oublies les zones où les réaménagents impacte la progression  des déploiements & des éligibilité. Je pense ici au SIEA qui a subit un gel de plusieurs années , et la CUGN (nancy) , où les prises de rendez-vous étaient gelés & les clients coupés parfois plusieurs jours le temps que les PM & les armoires de rue soient refaites. J'ai pas connaissance d'autres zones mais j'imagine que c'est similaire ailleurs.