Une page dans le Figaro ALTICE/créanciers
Ca fait le bonheur des avocats
Il ne faut pas oublier que de nombreux créanciers ont été remboursés, par de nouveaux emprunts. Ils ont pris leur risque et ont gagné. C'est le principe de la cavalerie, cela s'arrête quand l’emprunteur ne trouve plus à emprunter. Et c'est alors le dernier qui a prêté qui perd.
Altice n'a jamais pu rembourser sa dette avec ses bénéfices, la concurrence en France étant trop forte pour augmenter ses prix et faire des marges importantes. Et cela malgré la réduction des coûts aux dépens des fournisseurs, de la réduction par moitié des effectifs de SFR, de la vente des actifs qui n'ont jamais servi à diminuer la dette.
l'interrogation intéressante aurait été, de voir, quels sont ces créanciers, certainement des investisseurs institutionnels, et quelle part d'entre eux/capital, est francaise, européenne voire internationale.
j'ai l'impression que presque personne bouge le petit doigt en france, et comme pour les sociétés rallye/casino, atos, &cie, ca finit très souvent en dollar américain ou en livre britannique, jamais en euro (et c'est pour dire si nous avons quelques mastodonte faisant ravir notre monnaie!)