Ah bon?
Non, en tant qu'identifiant technique, une adresse IP publique a un empilement d'organisations avec des infos de contact associé (accessible via un protocole type whois) mais pas de pays d'usage fixé. Des données sur la localisation du matériel connexe peuvent être inférées seulement à partir de comportements techniques auxiliaires (latence, traceroute). Si tu prends un serveur de Google hébergé en France, il sera adressé derrière le nom de Google Irlande. Les RIR peuvent disposer de règles propres concernant l'allocation de leurs blocs d'adresses mais des choses comme des serveurs européens derrière des plages africaines se trouvent.
Pourtant, les opérateurs n'ont pas tous les mêmes contraintes selon les Pays.
Une législation peut couvrir les domaines de la responsabilité d'un fournisseur d'infrastructure technique comme celui qui opère un moyen de communication au public. Dans certains cas, la responsabilité du deuxième peut être reportée sur le premier. Dans tous les cas, elle agit sur son sol − sans exclure les moyens de coopération internationaux, moins forts sur certaines régions terrestres.
Des domaines aussi larges que la modération des propos tenus et des contenus échangés (de diverses natures), la protection des données personnelles notamment dans des contextes de réquisition et l'application effective de ces points peuvent rentrer comme critères de considération pour un client. Ces derniers sont peut-être, dans l'ensemble, plus préoccupés par des critères techniques comme la latence s'il s'agit de porter une réflexion individualisable.