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Free Débits fibre Free / [Ultra] Materiel requis avec PCIe x4
« Dernier message par shennia le Hier à 00:28:58 »
Merci pour ta réponse,
Je note pour le materiel.
Sur ma config, est-ce que je peux tenter le riser M2 vers x4?
https://www.amazon.fr/MZHOU-Carte-Adaptateur-Fente-dalimentation/dp/B09C1B2XC3
(Avec la carte sfp+ x4 de Asus)
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profile Évolution de LaFibre.info, bugs et critiques / Mots de passe en clair ??
« Dernier message par ericse le Hier à 00:14:20 »
Pour ma part je trouve l'approche trust and ignore risks trop candide.

L'utilisation de password à forte entropie incite à l'utilisation d'un password manager... probablement?
Cela reste une bonne pratique de sécurité, cependant, tu négliges le risque faisant que tous les users n'utiliseront pas forcément un manager, le stockeront de manière insécurisé, ou feront un copier coller de leur mot de passe - sans même penser au risque associé -, c'est un fait, et qui s'observe quotidiennement.
[...]
J'entends bien, mais mon point est surtout que si les MFA sont un palliatif indispensable aux mots de passe faibles et réutilisés, ils n'apportent pas beaucoup plus de sécurité qu'un mot de passe complexe et bien géré (les MFA par mail ou SMS semblent sûr, alors qu'un peu l'ingénierie sociale auprès du fournisseur suffit à les détourner, le secret du TOTP semble bien caché, mais peut être volé, soit dans le cloud de l'utilisateur ou il est souvent répliqué, soit sur le serveur ou il ne peut pas être haché), alors commençons par bien gérer les mots de passe (complexité + hachage/salage) plutôt que de leur adjoindre une béquille imparfaite.

Si l'on a besoin de plus de sécurité qu'un mot de passe, ce qui est souvent le cas je suis d'accord, ne perdons pas de temps avec les fausses bonnes idées des MFA et passons directement aux Passkeys.

Voilà voilà, c'est juste un point de vue divergent, je n'attends pas que tout le monde soit d'accord
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Routeur Routeur / OpenMPTCProuter : Agréger plusieurs lignes internet
« Dernier message par chris4G le Hier à 00:03:08 »
@oward Merci pour ces précisions  ;)
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SFR Actus fibre SFR / Photos de la box 7Fibre ouverte, avec bootlogs
« Dernier message par p0slx le Hier à 00:01:27 »
Bonjour à tous !

Je change bientôt d'opérateur alors je me suis dit qu'il était temps d'ouvrir la box que SFR m'a donné pendant un an, la Box 7F.

Un petit coup de décapeur thermique a fait l'affaire. Elle s'ouvre comme la NB6VAC, mais elle est assez différente à l'intérieur.
Je précise aussi que j'ai remonté la box et remis l'étiquète de garantie en place, car c'est celle que j'utilise au quotidien, je ne peux donc plus tester.

L'étiquète de garantie cache une vis PH2 et un connecteur UART ainsi que deux pins GPIO.
La Box 7F possède quatre antennes et supporte du 2.4Ghz et 5Ghz (donc Wi-Fi 5 maximum).

Voici un résumé de ses caractéristiques :

  • SoC : EcoNet EN7528 (MIPS 1004Kc) 900MHz dual-core (selon la spec, mais dans le bootlog, j'ai 4 cœurs, bizarre)
  • Flash : Micron MT29F1G08ABAEA / 128MiB
  • RAM : ESMT M15T2G16128A-DEBG2L / 256Mo / DDR3 933Mhz
  • Wi-Fi : MediaTek MT7615 (Wi-Fi 5)
EcoNet a été racheté par MediaTek, il me semble.

Je n'ai pas pu dump la NAND depuis le bootloader comme il est protégé par un identifiant + mot de passe et je n'ai pas d'appareil dédié à cet usage.




Photos

Face supérieure de la box (le bas de la box est à gauche de l'image).
De gauche à droite :

  • Trois pins pour l'UART (on notera l'absence du pin 3V) ainsi que le pin GPIO 9 et 11. Le tout accessible de l'extérieur en retirant l'étiquète de garantie. De haut en bas : TX, RX, GND, GPIO_9, GPIO_11
  • Le faisceau optique et son récepteur
  • L'étage d'alimentation
  • Le SoC avec sa RAM
  • Les 4 ports RJ-45 (10 / 100 / 1000 Mb/s) sont de couleur jaune
  • Un emplacement vide pour de l'UART ?
  • Certainement une puce pour gérer la prise téléphone (dissipateur thermique supérieur)
  • Puce Wi-Fi avec ses antennes externes (dissipateur thermique inférieur)
  • Les 4 antennes Wi-Fi 5 (bande 2,4 et 5 Ghz)



Face inférieure de la box (le bas de la box est à droite de l'image).
Pas grand-chose d'intéressant, si ce n'est la NAND.


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Calvados (14 - Altitude Infra) / Feuguerolles-Bully
« Dernier message par CHEVY14 le 11 mai 2024 à 23:53:16 »
Fâcheux tout ça en si peu de temps !
Tiens nous informé.  ;)
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Bistro Bistro / Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Dernier message par alain_p le 11 mai 2024 à 23:00:53 »
Différences de prix de l'électricité entre pays de l'Europe, la faute aux capacités d'interconnexion limitées entre pays ?

Il y a eu un article intéressant hier de La Tribune, sur les différences de prix de l'électricité en Europe, en particulier entre la France et l'Allemagne, où le prix serait supérieur d'environ 30 € le MWh par rapport à la France. Et la faute est mise sur le compte de capacités d'interconnexions trop limitées entre la Franc et l'Allemagne. En effet, l'Europe étant un marché unique pour l’électrifié, on devrait avoir peu ou prou les mêmes prix partout.

Cette analyse me parait un peu simpliste, car avec le choix dans beaucoup de pays, comme l'Allemagne (mais peut-être plus encore les Pays-Bas...), de développer surtout les énergies renouvelables, de nature intermittente, tout le monde produit en journée, surtout quand il y a du soleil, et il y a surproduction, que l'on peine à exporter ailleurs, et par contre, la nuit, des pays comme l'Allemagne, qui, si le vent n'est pas assez fort, doivent alors compter sur leur production pilotable à base de charbon et de gaz, mais insuffisante, et doivent alors importer de pays comme la France, où le nucléaire est toujours dominant. Mais donc là, on est plutôt en sous-production, et les marchés de gros augmentent et passent les 100 € le MWh.

Aujourd'hui encore, fin de semaine, et jour ensoleillé, les prix ont été négatifs en milieu de journée, et remontés pour certains à plus de 100 € le soir (voir ci dessous).

Prix de l’électricité : pourquoi l’écart se creuse entre la France et l’Allemagne

En avril, les prix de gros de l’électricité en Allemagne étaient supérieurs de 30 euros par mégawattheure (MWh) en moyenne à ceux enregistrés en France. Un écart significatif, qui s’explique entre autres par une situation « extrêmement tendue » au niveau des interconnexions entre l'Est de l'Hexagone et les pays limitrophes, selon RTE. Mais pas que : alors même que ce problème technique devrait être rapidement résolu, le marché anticipe d’importantes disparités dans les prochaines années. Preuve que le marché européen de l’électricité n’est pas un bloc unique. Décryptage.

Marine Godelier - 10 Mai 2024, 16:44

C'est un poncif de cette nouvelle campagne des élections européennes : sur le Vieux continent, il n'existerait qu'un marché « unique » de l'électricité, qui fonctionnerait de la même manière pour l'intégralité des Etats membres. En raison d'une « indexation aux cours du gaz », les prix convergeraient donc partout, quel que soit le mix énergétique de chacun des pays. Une « règle » imposée par Bruxelles qui ferait monter les enchères en France, forcée de subir les choix de son voisin allemand, lequel a décidé de sortir du nucléaire et de s'appuyer davantage sur le gaz fossile pour générer son courant.

Pourtant, la réalité ne colle pas totalement avec ce récit : depuis plusieurs semaines, les prix de l'électricité sur le marché de gros européens révèlent d'importantes disparités. En avril, les prix allemands étaient même supérieurs de 30 euros par mégawattheure (MWh) en moyenne à ceux enregistrés en France. Et ce n'est pas tout : « L'an prochain, le marché anticipe un gros écart de prix entre les deux pays, d'au moins 10 euros par MWh », note un trader de l'énergie ayant requis l'anonymat. Par exemple, le 7 mai, un MWh acheté pour une livraison en 2026 se vendait 79 euros par MWh outre-Rhin...contre 61 euros/MWh dans l'Hexagone.

A court terme, une situation « extrêmement tendue » aux frontières

Car dans les faits, il subsiste des marchés distincts entre pays. « Il existe bien des interconnexions entre Etats membres qui favorisent une convergence des cours, mais elles ne sont pas sans limites. Il arrive régulièrement qu'elles soient saturées, et le marché l'anticipe en raisonnant par zones de prix », souligne Nicolas Goldberg, senior manager Energie chez Colombus Consulting.

Or, depuis le mois de mars, on observe d'importantes congestions aux frontières entre l'Est de la France et les pays limitrophes, provoquées par des restrictions sur le réseau français. Une « situation exceptionnelle » et « extrêmement tendue », selon une note envoyée fin avril par le gestionnaire français du réseau de transport d'électricité RTE, lequel a dû « appliquer des réductions de capacités aux frontières afin de garantir la sûreté du système électrique ». Ce qui expliquerait, en partie, ces divergences.

    « RTE ne communique pas beaucoup là-dessus, en-dehors de ce communiqué très sibyllin », commente l'économiste spécialiste du marché de l'énergie Jacques Percebois.

A la suite de cette note de marché, le régulateur de l'énergie belge, la Creg, a d'ailleurs demandé à son homologue français une « évaluation conjointe » à propos des restrictions « massives » des capacités d'exportation d'électricité de la France vers ses voisins européens, regrettant que « trop peu d'informations sont actuellement connues sur les raisons sous-jacentes de ces réductions de capacité ». Et ce, alors que ces échanges sont « cruciaux » pour les prix de l'électricité de gros dans un marché « couplé et intégré » comme en Europe.

La France en surcapacité électrique

Mais concrètement, en quoi cela tire-t-il les prix de l'Hexagone à la baisse, et ceux de l'Allemagne et de la Belgique à la hausse ? D'abord, malgré la crise subie ces dernières années, la France traverse en ce moment une période de surproduction électrique. La raison : des barrages remplis, un socle renouvelable au rendez-vous et une disponibilité du parc nucléaire en hausse. Si bien que le pays est exportateur net, et qu'il n'a pas besoin de faire appel à des centrales à gaz, souvent coûteuses, pour répondre à l'équilibre offre-demande. « Le système est actuellement surcapacitaire, donc beaucoup moins adossé au prix marginal du gaz puisque la production de base décarbonée est plus abondante », précise Nicolas Goldberg.

Ce qui n'est pas forcément le cas de certains de ses voisins, qui ne bénéficient, donc, pas pleinement de cette surproduction. « Si nous exportons moins vers l'Allemagne ou la Belgique, cela signifie que ce surplus est vendu sur le marché français », explique Jacques Percebois. Ce qui fait mécaniquement baisser le prix de gros dans le pays. Au point que début avril, la France a même connu un épisode de prix négatifs.

Sur le long terme, des raisons avant tout physiques

Cependant, ces congestions exceptionnelles ne peuvent pas expliquer à elles seuls les écarts, notamment sur l'achat d'électricité pour livraison en 2025, 2026 et 2027. « RTE annonce que la situation tendue devrait encore s'observer en août, septembre et octobre, mais que ce sera très passager », souligne Jacques Percebois. Pour les ventes à terme, la raison se trouve donc ailleurs.

Et plus précisément dans le mix énergétique de chaque Etat. Pour cause : en-dehors de cet épisode exceptionnel de restriction, les échanges aux frontières entre pays resteront toujours soumis à des limites techniques. Or, « les acteurs de marché anticipent plus de surcapacités en France qu'en Allemagne. Ce qui paraît cohérent, sur le papier, puisque l'Hexagone ne va pas fermer beaucoup de moyens de production. Contrairement à l'Allemagne qui est sortie de l'atome et veut faire de même pour le charbon », précise Nicolas Goldberg.

    « A cet égard, ce sont les choix de chacun sur le nucléaire qui jouent beaucoup sur les cours : les opérateurs anticipent que cette source d'énergie remontera fortement en France, tandis qu'on ne peut plus compter sur ça outre-Rhin », ajoute Jacques Percebois.

Primes de risque

Or, en plus d'être décarboné, le nucléaire est en partie « pilotable », c'est-à-dire que sa production peut être modulée quelles que soient la météo (hors conditions extrêmes). Ce qui n'est pas le cas du photovoltaïque et de l'éolien, sur lesquels l'Allemagne compte massivement pour effectuer sa transition, puisque leur contribution varie en fonction du vent et du soleil. « Berlin ne dispose plus d'un socle pilotable et bas carbone. Le marché ajoute donc une prime de risque, car l'intermittence des renouvelables entraîne une forte volatilité des prix », complète Jacques Percebois.

Certes, le pays peut compter sur le gaz, dont il ne prévoit pas de sortir de sitôt. Mais voilà : avec la guerre en Ukraine et la chute des volumes livrés par gazoduc depuis la Russie, le marché du gaz restera, lui aussi, durablement volatil. « Il faut de plus en plus compter sur le gaz naturel liquéfié acheminé par navire des quatre coins du monde plutôt que celui transporté par tuyaux. Cela ajoute une autre prime de risque [liée à la géopolitique, entre autres, ndlr] », souligne Nicolas Goldberg.

Enfin, pour ne rien arranger, « il est possible que les marchés anticipent un renforcement des marchés carbone d'ici aux prochaines années », pointe le consultant. En effet, l'Union européenne prévoit de réformer son système d'allocation de droits à polluer, afin d'en durcir les contours. Dans ces conditions, le gaz, et donc par ricochet l'électricité issue de cette source d'énergie fossile, serait donc encore plus cher. Au risque de creuser durablement l'écart entre les prix français et allemands ? Une chose est sûre : alors que, selon une récente enquête d'EY, Berlin est durement touchée par la chute des investissements étrangers, les inquiétudes concernant sa sécurité énergétique n'y sont pas pour rien.


https://www.latribune.fr/climat/energie-environnement/prix-de-l-electricite-pourquoi-l-ecart-se-creuse-entre-la-france-et-l-allemagne-997236.html

On voit aussi ci-dessous que les prix de gros ont été de -65 € le MWh aujourd'hui à 13h en Hollande, pour remonter à 108 € le MWh à 20h. Or la capacité de production en Hollande est très élevée en solaire, et beaucoup moins en éolien, alors qu'ils sont sur les rives de la mer du Nord (voir en dessous)...
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L'AV1 est en passe de devenir au fur et à mesure le standard de-facto, VVC semble prometteur, mais est sans doute bien moins soutenu/implémenté et fait probablement du licensing, j'avoue ne pas m'être renseigné outre-mesure.

VVC a de bien meilleures performances qu'AV1, et le secteur audiovisuel tend à prendre les codecs les plus efficients, d'où le fait que VVC serait le successeur de HEVC et que ce n'est pas un problème pour l'industrie de payer du licencing (car avoir plus de bande passante, c'est pas trop possible). Le domaine fréquentiel est très contraint.

Chose totalement différente dans le web, où on préfère payer plus de bande passante que de royalties.

En effet, même si rien n’empêche une future évolution de la méthode de compression, hormis le support materiel, la norme DVBT-2 ne comprenant pas spécifiquement de codec en soi.

C'est vrai : DVB n'est qu'une norme qui définit comment transporter des données.

En TNT, on a effectivement vécu le MPEG2, puis la HD en MPEG4. C'est transparent par rapport à ce qui est transporté au-dessus de lui.
Dans votre MPEG-TS broadcasté, vous mettez toutes les conneries que votre cerveau vous inspire, de la vidéo, de la data, etc.
C'est comme ça qu'on fait de l'Internet par câble ou en fibre (RFOG).

Chez OrneTHD, on va allumer France 2 UHD avec du HEVC et de l'AC4 sur du DVB-T (et non du T2) : ça tourne nickel. J'ai certes moins de capa qu'en T2, mais ça passe.

Avec ce raisonnement, rien n'empecherait de transporter de l'AV1 dans du MPEG-TS (à voir si c'est possible j'ai pas testé). Car ça aussi c'est un pb : le container pour transporter ton A/V.
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En effet, même si rien n’empêche une future évolution de la méthode de compression, hormis le support materiel, la norme DVBT-2 ne comprenant pas spécifiquement de codec en soi.
En revanche, j'avais cru comprendre l'inverse concernant la prise en charge de l'AV1 sur les TVs, des marques n'étant pas membre du consortium tendent à l'adopter, comme Sony par exemple.
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SFR Actus SFR Altice / SFR Connect TV V3
« Dernier message par Ftty le 11 mai 2024 à 22:25:23 »
Salut,
je viens de me rendre compte que l'appli canal+ sur connect tv fonctionne enfin comme une appli "mycanal" classique ( et non plus comme une box historique avec le besoin de faire activer les droits en appelant canal+ )  8)
C'est marrant, SFR aurait re-re-fait machine arrière sur ce point ?
- au début, sur Connect TV, l'appli MyCanal se comportant comme sur périphérique mobile (par exemple Android)
- puis en 2023, subitement SFR et Canal+ se sont mis d'accord pour changer la donner et passer par un CAID sur décodeur Connect TV comme tout décodeur https://assistance.canalplus.com/questions/3203130-tv-connect-demande-code-caid-continuer-regarder-decodeur-sfr-tv-connect
- et donc d'après toi ils auraient re- changé d'avis, et seraient revenus à un mode sans CAID sur Connect TV en 2024 ?
à+
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profile Évolution de LaFibre.info, bugs et critiques / Mots de passe en clair ??
« Dernier message par alain_p le 11 mai 2024 à 22:15:50 »
l'intéret de faire un DDOS sur lafibre?

Vu le nombre d'attaques DDOS, qui a obligé Vivien à prendre différentes mesures de protection, certains semblent y voir un intérêt. D'anciens membres mécontents d'avoir été exclus pour leurs dérives, par exemple ?
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