y'a du boulot pour concurrencer les 2 mastodontes.
C'est un aparté, mais conceptuellement cela reviens à l'informatique des années 70, au lieu d'avoir des terminaux texte, graphiques, avec un peu "d'intelligence locale".
Si pour bon nombre d'utilisateurs dont le métier n'est pas l'informatique c'est une bonne solution, cela m'inquiète un peu plus pour ce qui concerne la marge de liberté individuelle de se retrouver dans un écosystème unique, et quel qu'il soit parmi les GAFAM.
Lorsque je vois certaines évolutions produits imposées à coût de licenses induites à fonctionnalités égales, on peut imaginer ne pas vouloir suivre systématiquement leurs politiques.
Pour Shadow PC de ce que j'ai compris du l'interview de JBK il souhaiterai réorienter la société vers de l'IA avec l'utilisation du grand nombre de cartes graphiques en leur possession.
C'est probablement la meilleure option, en ce qui concerne les jeux,ils ne sont pas éditeurs, ils sont tributaires des licenses de jeux des éditeurs.
Pour les éditeurs de jeu, c'est un canal de distribution comme un autre, si ce n'est qu'ils ont leur propres stratégies de plateformes, soit en cours soit en préparation.Soit ils vendaient leur technologie de plateforme à un gros éditeur intéressé, manifestement cela n'est pas le cas, soit ils pivotent leur Business Model.
Récupérer les compétences IT, il faut que le projet intéresse les personnes en place, si c'est pour faire des projets imposés qui ne les intéressent pas, ils partiront, et c'est normal. Si le repreneur assure une continuité d'intéret pour les équipes et que c'est juste des problèmes de contrats à revoir tel qu'évoqué par JBK, les actionnaires actuels doivent pas être très heureux.Manifestement de ce que je comprends c'est l'actionnaire américain qui a infléchis certains choix que JBK perçois comme erronés.
Tel que présenté, je perçois plus cette reprise comme un relais de financement par un VC de second tour de table, en faisant un coup d'accordéon, les premiers actionnaires ne voulant plus mettre au pot pour voir.