Après je suis d'accord, je ne nie pas qu'il y ait une part sans doute importante, de spéculation.
Je n'ai rien contre la "spéculation", sur un marché, c'est un acteur, qui prends "le risque" à la place d'un autre acteur, il est rémunéré pour prendre ce risque.
Le fond de cette histoire, c'est que cela crée "une bulle", ou l'on valorise quelque chose d'immatériel à un prix, déconnecté de toute valorisation intrinsèque, et là c'est porte ouverte à n'importe quel prix d'échange, il suffit que deux acteurs se mettent d'accord sur le prix.
On dit 50 ? Pourquoi pas 100 ? ou autre ? C'est une valeur d'échange, qui va faire un marché ?
Si tu quantifies une valeur d'échange à quelque chose de Universel et un bien de tous, tu privatises des biens.
Cela se fait au détriment de tous, un bien Universel deviens la propriété de quelqu'un.
Tant que c'est des nombres, et qu'il y a des pigeons pour payer des nombres, cela ne me fais ni, chaud ni froid.
Quand cela deviens des "taxes" sur l'air que l'on respire, et "taxes carbone", ou sur l'eau de pluie, et que les fontaines publiques disparaissent les une derrières les autres, deviennent impropre à la consommation, pour en faire un ressource privatisée, là cela me gêne un peu plus.