La cause et la conséquence

On ne peut pas être rentable, offrir plus ce que les autres fait et avoir le meilleur réseau de France avec les prix que Free pratiquent : l'équation est insolvable...

Seul une aide extérieure peut le permettre, elle porte un nom : l'argent magique.

cette conclusion est basée sur quels chiffres / études ?

Bah non comme la dit lenicois si l'équation était resolvable et qu'elle fonctionnait toute la France serait chez Free... ce qui n'est pas le cas...

Ce n'est pas pareil, à ce que je sache Bouygues et SFR ne se sont jamais présenté comme des trublions, des sauveurs de l'humanité où je ne sais quelle autre hérésie, je ne sais pas quelle est la déviance mentale qu'il faut avoir pour dire/penser qu'un fournisseur d'accès internet va te sauver ton pouvoir d'achat, le problème n'est pas dans la sortie de la poche, c'est à l'entrée, pour en revenir au sujet c'est avec cette escalade/gueguerre des débits (qui frôle la limite du ridicule) que les FAI se sentent légitimes d'augmenter les prix des offres ou voir carrément supprimer des offres qui sont encore utilsable

Bouygues était un léger trublion fut une époque. Face à SFR et Orange. Mais bref.

Oui. On va droit vers la fin du GPON et la fin des offres à 1gbits/s. Ou alors marginalisée.


avec cette course au débits, on aura des tarifs qui augmenteront. C'est clair et net. Et ce qui ne pourront pas payer resteront à 300 Méga.


Ce que personne ne parle , c'est que cette histoire fait renaître les cartes d'éligibilité. Parce que oui, les RIP ne seront pas prioritaire pour le 50GPON d'Orange, face au centre de Paris.

On cru naïvement que la fibre donnerait le même débit pour tous, mais je crois que c'est déjà raté.

J'ai jamais entendu quelqu'un dire que son pouvoir d'achat a été sauvé grâce à son forfait mobile  , si quand bien même ça arrivait c'est au mieux un placebo au pire une vision altéré de la réalité, et de toute façon dans le cas présent on parlait du réseau fixe donc des offres fixes qui sont historiquement plus cher que les forfaits mobiles, et qui ont donc un poid plus lourd dans les dépenses des ménages.