Auteur Sujet: L'Arcep publie des indicateurs sur le taux de panne des réseaux FttH  (Lu 34667 fois)

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vivien

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L'Arcep publie des indicateurs sur le taux de panne des réseaux FttH
« Réponse #156 le: 28 juillet 2023 à 19:20:27 »
Mort de rire, le PDG d'AI qui trouve que les réseaux ex-Covage, ex-Tutor sont vieillissants!

Source : Extrait du journal de 20 heures de France 2, le 19 juillet 2023

Même chose chez XP fibre : il ne faut dire que ce sont des réseaux atypiques, mais dire que ce sont des réseaux anciens...
Extrait de l'intervention de monsieur Arthur Dreyfuss, président directeur géneral d’Altice France


halesk2k

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L'Arcep publie des indicateurs sur le taux de panne des réseaux FttH
« Réponse #157 le: 28 juillet 2023 à 19:36:53 »
S'il faut refibrer la France tous les 10 ans, on est mal...

Ces réseaux ne sont pas vieux, ils ont juste été installés par des businessmen qui n'en n'ont rien à faire du résultat technique du moment qu'ils empochent les financement publiques.

vivien

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L'Arcep publie des indicateurs sur le taux de panne des réseaux FttH
« Réponse #158 le: 28 juillet 2023 à 20:24:19 »
Pourtant, certains sont anciens et ont bien moins de problème, la première photo a plus de 10 ans.

Un PMZ qui semble perdu au milieu de verdure et d'un grand rond point :

Je n'irais pas dire que c'est exemplaire vu l'état des PMZ 10 ans plus tard...
Une reprise de ce PMZ s'impose !


trekker92

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L'Arcep publie des indicateurs sur le taux de panne des réseaux FttH
« Réponse #159 le: 28 juillet 2023 à 20:36:52 »
Encore un reportage ce soir sur les problèmes de la fibre optique dans le journal de France 2

Enquête du journal de 20 heures de France 2 : Les ratés de la fibre optique

Le gouvernement souhaite raccorder tous les foyers français à la fibre optique d’ici à 2025. Les associations de consommateurs, elles, dénoncent de nombreux dysfonctionnements.

Des milliers de fils emmêlés, parfois branchés, et à la clé des connexions internet brutalement interrompu. L'accès au haut débit tourne au cauchemar pour certains Français. Propriétaire de son appartement depuis un an, Cédric Bernstein ne peut toujours pas y vivre, à cause d'une fibre optique défaillante. Son quotidien est fait de coupures internet, sans téléphone ni télévision. Si son cas n'est pas réglé en septembre, il revendra son appartement. Philippe Rouleau, le maire (LR) d'Herblay-sur-Seine (Val-d'Oise), commune très touchée, pense connaitre la source du problème : des armoires de connexion non sécurisées.

L'Arcep rappelle à l'ordre

Des déchets qui jonchent le sol, des enchevêtrements de milliers de fils, et des équipements cassés : la faute, selon lui, à certains techniciens peu scrupuleux. "Ce qu'il peut se passer, c'est que pour avoir un chemin fibre, ils débranchent des connexions de certains abonnés pour brancher les abonnés de leur société", dit-il. Une hypothèse confirmée par un professionnel, qui travaille pour un gros opérateur. Pour éviter ces désagréments, l'Arcep a lancé un état des lieux, dans lequel sont nommés les entreprises qui gèrent les réseaux avec le plus d'échecs de raccordement et de pannes.



Source : Extrait du journal de 20 heures de France 2, le 19 juillet 2023


ouah la chaleur a crever est moins forte que le fait de suffoquer, de s'étouffer en regardant le reportage...
le pdg d'altitude qui confie "8% seulement des prises d'altitude qui sont pas aux normes de qualité" soit presque 1 client sur 10... et le pdg dit ca face à l'objectif sans présenter sa démission avec effet immédiat?

et où sont les experts lafibre dans le reportage? :o

en voyant certaines photos du fttporn je m'interroge à quand les flics viendront protéger les techniciens chargés de tout arracher/débrancher pour remettre à zéro, dans certaines zones ya plus rien à faire tellement ca ressemble plus à un bidonville des telcos qu'à une infra fibre..

les spaghettis de l'horreur, bientot dans vos cinémas, déjà à chaque coin de rue..

vivien

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L'Arcep publie des indicateurs sur le taux de panne des réseaux FttH
« Réponse #160 le: 28 juillet 2023 à 20:52:53 »
les techniciens chargés de tout arracher/débrancher pour remettre à zéro, dans certaines zones ya plus rien à faire tellement ca ressemble plus à un bidonville des telcos qu'à une infra fibre..
Ca c'est une simple reprise.

Là, il faut souvent construire de nouveaux PM300 dans la ville et supprimer ce PM1000.

C'est bien expliqué par Arthur Dreyfuss, les PM1000, les shelter avec 1000 à 2000 lignes sont bien plus accidentogènes que les PM300 (armoires de rue avec 300 à 600 lignes).

Orange était pourtant bien seul à demander des PM de 300 lignes :

Les réponses à l'ARCEP concernant la taille minimale du point de mutualisation

France Télécom précise que si elle était amenée à déployer seul un réseau, un opérateur PON implanterait des points de mutualisation de taille inférieure à 300 logements. France Télécom indique que des arguments technico-économiques permettent de montrer qu’un point de mutualisation de 1 000 logements ne doit pas être retenu comme référence, même si de tels points de mutualisation pourraient être installés à titre exceptionnel.
France Télécom ajoute qu’installer des points de mutualisation de 300 lignes est largement plus favorable, en termes de réduction des coûts de déploiement, pour un opérateur PON que d’installer des points de mutualisation de 1 000 lignes.
France Télécom considère qu’il serait contraire au principe de neutralité technologique d’imposer des contraintes techniques conduisant à un déploiement sous-optimal pour un opérateur PON [note : Orange] afin d’améliorer l’équation économique d’un opérateur point-à-point [note : Free]. En conclusion, France Télécom estime qu’il est important de permettre aux opérateurs qui le souhaitent de déployer des points de mutualisation de 300 lignes.
Sur la taille maximale du point de mutualisation, France Télécom estime que le projet de décision devrait indiquer explicitement qu’une taille de point de mutualisation sensiblement supérieure à 1 000 devrait être prohibée.




Free considère qu’une taille minimale de 1 000 lignes serait préférable.
Free rappelle que les petits points de mutualisation multiplient également les coûts fixes de raccordement (études d’ingénierie, études de faisabilité d’utilisation du génie civil existant, etc.), augmentent les délais de raccordement et complexifient les processus de commercialisation.
Ainsi Free estime qu’en pratique, un opérateur devra, pour raccorder six points de mutualisation de 300 logements, consacrer 6 fois plus de temps et supporter 6 fois plus de frais que s’il n’avait eu à raccorder qu’un seul point de mutualisation de 2 000 logements.
Free craint en outre que les prix de mise à disposition des points de mutualisation couvrant les zones les moins denses soient prohibitifs.
Free indique ainsi que les locaux techniques permettent d’intervenir à l’abri de toute projection (poussière, eau, etc.).
À l’inverse, Free estime que les armoires de rue présentent des conditions d’exploitation difficiles (espace de brassage réduit, nécessité d’une stricte discipline pour la manipulation et le rangement des câbles en fibre optique, exposition des équipements de brassage aux éléments extérieurs à chaque ouverture de l’armoire, absence de zone de travail protégée, etc.).
Au-delà des problématiques de dégradations extérieures, Free estime que les armoires de rue augmentent les coûts de manipulation, la durée du travail à réaliser et donc le coût récurrent des opérations de brassage. Free rappelle qu’à l’échelle du territoire visé par le projet de décision, ces obligations de surveillance et d’entretien peuvent constituer des charges particulièrement lourdes à supporter par les opérateurs.
Free conclut qu’il serait inefficace d’imposer de telles charges aux opérateurs alternatifs alors que des points de mutualisation d’environ 1 000 lignes permettent d’optimiser les coûts d’entretien et constituent une solution pérenne.
Free considère que l’exception autorisant l’installation de points de mutualisation de moins de 300 logements devrait faire l’objet d’un accord préalable des opérateurs participant au cofinancement initial des lignes, afin d’en préserver le caractère exceptionnel, et de permettre aux opérateurs co-financeurs de proposer à l’opérateur d’immeuble une architecture alternative.





Bouygues Telecom demande un minimum de 2 000 logements. Bouygues Telecom souligne que l'installation de points de mutualisation de moins de 300 lignes génère des surcoûts importants : l'installation de point de mutualisation de 100 lignes, par exemple, renchérirait le coût du déploiement de plus de 30 %.
Bouygues Telecom considère qu’un point de mutualisation de 300 lignes n’est pas économiquement viable pour un opérateur ayant 10 % de part de marché. En effet, Bouygues Telecom estime qu’avec une pénétration du haut débit de 60 %, cette taille conduit à un volume de 18 clients, insuffisant pour remplir de manière satisfaisante les équipements actifs.
Bouygues Telecom estime tout d’abord que le coût d’installation du réseau en aval du point de mutualisation change peu, qu’il regroupe 300 ou 2 000 logements. En outre, Bouygues Telecom indique que les points de mutualisation de 2 000 lignes n’entrainent pas de surcoût de redevance de génie civil, et qu’il est même moins onéreux de remonter un câble de 720 fibres, entre un point comptant 576 lignes et un point comptant 2 000 lignes, que 4 câbles de 12 fibres (dans le cas de 4 réseaux de collecte).
Bouygues Telecom estime ainsi que la principale contrainte s’opposant à des tailles de points de mutualisation élevées réside dans l’encombrement potentiel du génie civil en aval. Toutefois, Bouygues Telecom indique qu’il existe des solutions de désaturation, dont le coût ne remet pas en cause la validité économique d’une solution avec des points de mutualisation de 2 000 lignes. Bouygues Telecom estime aussi que les locaux techniques et les shelters permettent une meilleure sécurisation, au contraire des armoires de rue qui seront davantage soumises au risque de vandalisme et aléas divers.





Axione considère qu’il est important de pouvoir déroger dans certains cas à la règle générale d’une taille minimale de 300 lignes. Axione indique en effet que, dans certaines configurations rurales,
rendre compatible la longueur de la boucle locale optique avec les technologies actives déployées par les opérateurs constitue une contrainte supplèmentaire.




Selon l’AVICCA, l’expérience du DSL montre que les NRA de moins de 1 000 lignes sont très rarement dégroupés, alors même qu’il n’y a aucun coût de raccordement de l’abonné, contrairement à la fibre optique. Par ailleurs, certains opérateurs alternatifs s’appuient sur les expérimentations menées en zones moins denses pour montrer qu’installer des points de mutualisation de 2 000 lignes environ ne présente pas de difficulté particulière, pour l’installation et l’accès au génie civil.
Des opérateurs alternatifs soulignent que, si des points de mutualisation de 300 lignes sont en principe hébergés en armoire de rue, des points de mutualisation de taille plus importante sont installés dans des locaux techniques ou shelters, qui présentent selon eux des avantages en termes exploitation.


Steph

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L'Arcep publie des indicateurs sur le taux de panne des réseaux FttH
« Réponse #161 le: 28 juillet 2023 à 21:04:43 »
Même chose chez XP fibre : il ne faut dire que ce sont des réseaux atypiques, mais dire que ce sont des réseaux anciens...
Ce sont des truffes, comme nos politiques...

"Sortez les briquets"
Diams

avant que les préfets n'en interdisent l'usage comme ils ont fait pour les casseroles...

vivien

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L'Arcep publie des indicateurs sur le taux de panne des réseaux FttH
« Réponse #162 le: 28 juillet 2023 à 22:58:29 »
Là, il faut souvent construire de nouveaux PM300 dans la ville et supprimer ce PM1000.

Sur Blonville-sur-Mer (14), j'ai photographié un PM historique de Tutor, un PM atypique comme diraient certains :

FttH : Point de mutualisation Tutor de Blonville-sur-Mer (14)

La clim est présente car Tutor permettait de mettre des équipements actifs (switchs) dans le PM. Photographies du 19 mai 2023.


Même PM 11 ans avant :
Pour finir sur le 4ème,
A noter que Tutor a fait un travail remarquable avec les élus pour trouver des manières originales d'habiller les PM (bardage bois, ancienne bâtisse, toit reprenant l'architecture locale)



Quentin alterne entre ses rendez-vous avec les prospects et les coups de main sur le déploiement.
Arnaud se trouve une planque auprès de Maéva prétextant des configurations nécessaires sur les configurations BGP.

Je profite du dernier PM pour vous montrer l'intérieur :


J'ai l'impression que ces vieux PM Tutore sont remplacés par ces armoires Covage :
Mais on voit apparaitre dans Blonville-sur-Mer des point de mutualisation armoire de grande capacité (1000 lignes maximum ?), bien plus haute que les armoires habituellement mises en place par Orange pour des PM300.





Ptit Lu

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L'Arcep publie des indicateurs sur le taux de panne des réseaux FttH
« Réponse #163 le: 28 juillet 2023 à 23:58:42 »
Bonjour, suite au partage de ce fil par une connaissance, je  me permet de répondre.
Je travaille pour un OI, et j'en ai un peu ras le bol qu'on crache sur mon travail et celui de mes collègues (quand on ne nous crache pas dessus tout court).

L'Arcep prend une position très discutable dans son rapport, je ne me permettrai pas de juger le pourquoi du comment.
Bien qu'elle s'exprime sur ses indicateurs ; au bout d'un moment reconnaitre qu'ils sont partiaux et les utiliser quand même, c'est de la manipulation...
Citation de: Arcep
il convient donc de noter que les signalements pris en compte ne relèvent pas nécessairement in fine de la responsabilité des opérateurs d’infrastructure.
Mais elle présente des infographies par OI... où cette notion n'est plus présente. Ce qui permet de faire le chou gras des médias.

Au moins l'Arcep sépare les réseaux historiques des OI, des rachats.

Une autre écueil majeur du rapport, les proportions entre les différents niveaux d'avancement des PTO ne sont pas pris en compte (je détaillerai ce point que sur demande car c'est de la modélisation un peu complexe).

Il ne faut pas oublier que le déploiement de la fibre est composé d'une multitude d'acteurs et dont le local à un fort impact. Mais a lire l'Arcep et certains dans ce fil, le principal responsable (voir l'unique) c'est l'OI.
Un échec racco peut être dû à une foule de choses (et de responsables) :
  • OI : mauvais dimensionnement, manque de contrôle en construction , mauvaise transmission d'info à l'OC, choix du traitement des racco complexe (selon le choix ça gonfle l'indicateur)
  • STOI Construction : malfaçon, mauvais récolement
  • OC : fausse déclaration lors des commandes, mauvaise transmission d'info à l'OI ou au ST, absence de coupleur, problème d'actif, acharnement, absence de création de ticket OI (enfin ça c'est plutôt pour les pannes)
  • STOC : mauvaise transmission au ST suivant ou au tech
  • Tech : Mutation sauvage, dégradation, mauvaise pratique, incompétence, fausse déclaration (calcul de rentabilité et d’espérance de gain)
  • Usager : Infra non mobilisable, malfaçon, destruction (oui oui yen a qui bousille leur propre infra), refus de viabiliser, méconnaissance de leur infra, commande chez plusieurs OC, collage au PM
  • l'état : Applicabilité du droit du terrain mal défini
  • Tout à chacun avec les motifs de pannes habituelles : épareuse, taille haie, manque d’élagage, intempérie, travaux sans DT/DICT (ou sans les utiliser), accident routier, vandalisme, ...
Et là c'est qu'une partie des responsabilités directes (d’ailleurs le STOI et le STOC relève de la responsabilité de l'OI et de l'OC). Tous ces maillons peuvent être soit défaillant par philosophie d'entreprise, soit par manquement individuel. Je trouve donc très hasardeux de pointer du doigt les OI.

Il faut aussi prendre en compte la zone géographique, qui par choix de France Telecom (ou de mairie) a été déployé en cuivre à bas coût ou non. Ainsi que des zones où les locaux à fibrer sont mal connus. Ainsi que tous les trucs cités plus hauts qui vont être plus ou moins prépondérant en fonction des équipes locales.

Le seul point qu'on ne peut pas enlever à l'Arcep, c'est qu'au final celui qui morfle le plus, c'est l'usager.


Pour le discours d'Altitude et Altice, ces réseaux sont vieillissants car d'un autre temps avec d'autres règles voir d'autres enjeux.Sur l'un de nos réseaux, nous avions audité un quartier déjà fibrée pour au final refuser de l'utiliser et redéployé de 0 car rien n'avait été fait correctement (dans l'unique but de toucher les deniers publiques).
Malfaçon du type, poser la chambre qui permet l'accès à la fibre à l'opposé de celle qui a servie a viabiliser en cuivre le local.

En conclusion de se (trop ?) long post, oui les OI on une part de responsabilité, mais ils sont loin d'être les seuls et pas forcément les plus à même de résoudre (dans le contexte réglementaire actuel).
« Modifié: 29 juillet 2023 à 00:21:24 par Ptit Lu »

vivien

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« Réponse #164 le: 29 juillet 2023 à 10:11:48 »
En conclusion de se (trop ?) long post, oui les OI on une part de responsabilité, mais ils sont loin d'être les seuls et pas forcément les plus à même de résoudre (dans le contexte réglementaire actuel).
En phase.

On l'a déjà dit plusieurs fois ici, le premier problème, c'est le mode STOK et sa cascade de sous-traitance, de dilution de responsabilité et d'absence de contrôle.

Un exemple : Ils percutent la chambre Orange et font un travail de merde tout en se filmant et en partageant ça...


Cela n'empêche pas de pointer qu'outre ce problème, les réseaux ne sont pas tous égaux.

Si ce vélo a cassé plusieurs connexions fibre, ce n'est pas directement la faute de l'OI, mais en même temps, si l'OI avait conçu son réseau différemment pour que cela n'arrive pas, il n'y aurait pas eu de vélo.


vivien

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« Réponse #165 le: 29 juillet 2023 à 10:28:55 »
Quelques exemples supplémentaires de tech qui font n'importe quoi :




vivien

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« Réponse #166 le: 29 juillet 2023 à 11:08:01 »
Communication d'Orange :


Nico

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« Réponse #167 le: 29 juillet 2023 à 19:58:43 »
Si ce vélo a cassé plusieurs connexions fibre, ce n'est pas directement la faute de l'OI, mais en même temps, si l'OI avait conçu son réseau différemment pour que cela n'arrive pas, il n'y aurait pas eu de vélo.
Bizarrement quand même, ce genre de soucis ça n'arrive pas partout.

J'ai l'impression que les PM brulés et les voitures brulés se recoupent un peu. Après corrélation n'est pas forcément causalité bien sur.