La logique commerciale des déploiements successifs, ça a été les villes d'abord, et les autres ensuite (ou pas du tout). Du coup, les villes se sont retrouvées avec les débits max, et la succession des technologies qui à chaque fois leur faisait gagner un peu plus de débit. Dans les campagnes, du coup, il n'y a rien, et des gens ont depuis des années (décennies ?) des débits complètement pourris sans espoir d'amélioration. Le RIP répond davantage à une logique sociale, en remettant les gens oubliés un peu en priorité. Personnellement, ça ne me dérange pas que des gens qui sont à 4 Mbits depuis des lustres passent devant moi, qui bénéficie depuis aout dernier d'un VDSL à 45 Mbits.