Je suis étonné de la réponse de Covage : Une location n'est pas possible ? (sans co-investissement)
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- Dans les zones FTTH ZMD Réseaux d'initiative public, il y a généralement une offre de location qui évite de faire un co-investissement de 5%. C'est au choix de l'opérateur : location ou co-investissement. Pour l’horizontale, il est possible de se connecter directement sur les PM ou de louer des fibres jusqu'au NRO.
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Ce qui est complexe avec Sequalum, c'est que c'est un réseaux d'initiative public en ZTD...
Petits rappels, au cas où ça intéresserait encore quelqu'un de se pencher sérieusement sur tout ce que Sequalum a dû défricher en matière de RIP FTTH (y compris pour la ZMD...):
• Le catalogue de services Sequalum comportait, pour sa partie "Grand Public", 2 types d'offres : Une série d'offres dédiées "gros" opérateurs, basées sur des contrats en IRU, pour du PON, P2P ou même Fibre Noire, en volume ; et une série d'offres conçues pour les "petits" opérateurs basées sur la location de liens optiques PON ou P2P.
• Dès le début, Sequalum avait pour ligne directrice de déployer l'Horizontal THD Seine là où les clients Opérateurs voulaient/souhaitaient/pouvaient venir. Ainsi la fameuse zone "CARS" Clamart-Antony-Rueil-Sèvres construite suite au contrat signé avec Bouygues Telecoms, ou les 12 communes déployées "pour" SFR. Ces communes étaient traitées en priorité dans les plannings de déploiement annuels, les autres communes du Département étant calées suivant des critères techniques (faisabilité, rapidité) et stratégiques (pour attirer des opérateurs nouveaux).
• Pour le Vertical FTTH sur les immeubles +12LR, Sequalum déployait au fil des contrats ou des priorités commerciales ou juridiques (exemple des immeubles OPDH92 inscrits au contrat de DSP).
• Le Vertical Couché ou "Pavillonnaire" a été traité sur la même base que l'Horizontal : Pas de déploiements de zones arrières PMZ (on disait "PME" pour "extérieur" à l'époque) sans co-financement d'un ou plusieurs OC. D'où le planning de déploiement bâti fin 2013 pour 2014, qui prenait en compte les accords de principe avec Orange (répartition sur le Département, et sur certaines communes) et les contrats ByTel et SFR qui tous les deux imposaient le "bout-en-bout" NRO-PTO.