Ou à leur restructuration. Un plan de départ, c'est un gros chèque par personne, et passer de 800 à 40 offres dans le SI, c'est un coût en vue d'économies ultérieures.
De leur faire perdre des abonnés, c'est certain. Mais si l'offre est attractive par ailleurs, ils en gagneront à un moment ou un autre.
Leur problème, ce n'est pas le résultat net négatif ; ça ce n'est pas grave.
Là où ça sent le sapin, c'est le résultat opérationnel négatif. Ça veut dire que leur activité télécom n'est même plus capable de subvenir à ses frais courants.
Alors sur un an, c'est pas trop grave pour la filliale à 100% d'un groupe comme Bouygues qui a les reins solides. Faudra voir sur 2015 si c'est la catastrophe, ou simplement "la merde comme prévu" ; mais il est clair que s'ils ne remontent pas la pente, début 2016 les investisseurs vont demander à Bouygues de couper la branche pourrie.
Donc en gros, l'avenir de ByT va se jouer ces 6 prochains mois dans les livres de comptes.