Il me semble qu'une erreur de ce genre avait déjà été relevée. L'antenne couvrait moins bien, mais couvrait sans problème, et c'est toujours facile de se moquer d'un amateur tel que Free en oubliant les erreurs que font ses concurrents. Il y a des mauvais et des mal réveillés partout, il parait même que Bouygues aime bien se planter et débrancher des DSLAMs de ses concurrents dans le genre
Relis le dossier de candidature. En 2010, Free Mobile avait déjà identifié plus de 6000 sites.
Dont combien qui n'ont pu se réaliser ? Combien étaient des syndics pas démarchés qui ont finalement dit non ? "identifié", c'est extrêmement vague.
"identifier", c'est très large. C'est un peu comme "prévoir au dégroupage" x NRA à fin 2008 (pas tenu), ou 2500 antennes à fin 2012.
L'idée, à l'époque, était de rassurer l'investisseur. Et visiblement ça a porté ses fruits !
Quand Free Mobile aura déployé 10 000 sites, peut être rencontrera-t-il ensuite quelques difficultés, mais avec l'accord de mutualisation SFR/BT qui se met en place, cela m'étonnerait beaucoup.
Nationalement, on est d'accord, et Free ne s'en plaint pas.
Dans les grandes villes, le contexte est notoirement plus difficile puisqu'un immeuble, éventuellement ancien, peut avoir une capacité bien plus limitée qu'un site isolé ou qu'un toit terrasse, qu'il est plus difficile d'y acheter des supports "en masse" (obligation de négocier avec des syndics individuels), sans oublier bien sûr que certains endroits tels que le XVIe ne regorgent pas de HLM ravis de voir débarquer une source de revenus.