Si les IAs sont mauvaises, il vaut mieux éviter de dépenser des quantités colossales d'énergie électrique dans leurs datacenters.

C’est une bulle qui va faire mal lorsque elle explosera. Mais ça ira mieux ensuite.

Il va y avoir de la publicité sur l'IA, c'est en plein développement pour trouver la bonne solution pour avoir des revenus publicitaires.

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Cela ne suffira pas. Il y a trop d'acteurs sur le marché, et des acteurs avec des reins pas assez solide.

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Ah oui, je vois le genre...

L'autre jour je lui ai demandé quoi faire des pommes de terre germées, elle m'a tout bien tout détaillé et plus si affinités.

La prochaine fois à la place elle me dira d'acheter de la purée Mousseline parce que ça ne germe pas?

Je suis assez d'accord. j'ai trouvé la séquence "que pense l'IA de la vente de SFR" plutôt amusante, mais force est de constater que le résultat est très verbeux et quand même un peu creux.
Techniquement c'est une gageure qu'elle arrive à faire une synthèse un tant soit peu cohérente d'un tel sujet, mais par rapport au niveau d'expertise du forum ça fait quand même tache. Comme l'a dit Artemus, je ne viens pas forcément ici pour lire du contenu IA... à moins que ce soit dans un sujet IA de ce forum.

Trop facile ça. Mais visiblement, Perplexity sait tout. Même solutionner le problème des retraites !

La CGT sera au chômage à a l'ère de l'IA !

Pour résoudre le problème du financement des retraites en France, plusieurs pistes sont discutées actuellement, allant de l’ajustement des règles de répartition à l’ouverture vers plus de capitalisation, ainsi qu'une meilleure redistribution entre actifs et retraités. Restaurer le pouvoir d’achat des actifs passe par une réforme structurelle, le pilotage rigoureux du système, et une éventuelle adaptation du mode de calcul des pensions pour rééquilibrer les efforts.​

Financement des retraites : perspectives et défis

Le système français est basé sur la répartition, donc la pérennité dépend du rapport actifs/retraités et du niveau global des cotisations. Le déficit des régimes atteint 1,7 milliard d’euros en 2024, soit 0,1% du PIB, et les pensions sont majoritairement payées par les cotisations sociales, complétées par la CSG et d'autres impôts. Les réformes successives depuis 2023 ont relevé l’âge légal à 64 ans et accéléré la durée de cotisation exigée, mais le déséquilibre structurel subsiste face au vieillissement de la population.​

Mesures envisagées et pistes d’amélioration

Décaler la revalorisation des pensions ou limiter à un taux inférieur à l’inflation pour maîtriser la hausse des dépenses.​

Renforcer les dispositifs de retraite progressive, permettre un cumul emploi-retraite plus souple, et inciter les seniors à rester actifs plus longtemps.​

Favoriser l’essor de l’épargne retraite supplémentaire pour les salariés, en complément du régime obligatoire.​

Développer la capitalisation à travers des produits dédiés, ce qui suppose un soutien politique, fiscal et pédagogique pour éviter la double cotisation et privilégier des dispositifs différenciés selon les parcours.​

Désindexer partiellement les retraites ou supprimer certains abattements fiscaux pour mieux répartir l'effort entre actifs et retraités.​

Rendre aux actifs le fruit de leur travail

Le débat sur le partage de la valeur ajoutée invite à réexaminer le poids des prélèvements sociaux et du financement des retraites sur la rémunération des actifs. Quelques idées avancées :

Revoir la taxation des revenus des retraités pour accroître la justice sociale.​

Baisser progressivement certaines retraites élevées au profit de dispositifs égalitaires.

Revaloriser le salaire net des actifs en allégeant la charge des cotisations ou par une redistribution des économies réalisées via les réformes.​

Accélérer la transition vers des modes de retraite partiellement capitalisés pour restaurer le lien entre effort et rémunération future.​

Conclusion

La solution passera par un panel de mesures visant à garantir l’équilibre financier et une juste répartition du fruit du travail entre générations : adaptations structurelles, maîtrise des dépenses, développement de l’épargne retraite et révision des modes de revalorisation.​

On rigole, mais est-ce que Mc Kinsey ferait fondamentalement mieux ? Pas vraiment. L'IA va massacrer les effectifs des entreprises de conseil. C'est LE secteur qui va cramer.