Le contexte n'admet pas de dépassement de tampon s'il n'admet pas de gestion de la mémoire. => C'est possible, c'est le principe d'un langage haut-niveau.
Le contexte n'admet pas d'injection SQL s'il n'admet pas de requêtes SQL textes. => C'est possible, la plupart des bibliothèques utilisées pour parler à SQL règlent le problème.
Le contexte n'admet pas de XSS s'il n'admet aucune sorte de génération entière ou partielle de réponses brutes au serveur qui seront servies au navigateur, ni d'interfaçage direct avec des entrées utilisateurs de la part du contenu actif. => C'est défendu de par l'architecture de la majorité immense des applications web qui tient des bases de leur conception.
Le contexte n'admet pas de CSRF s'il y a une couche complètement abstraite et fondée sur une logique de droits incontournable concernant les actions de l'utilisateur. => Intrinsèquement, c'est à peu près impossible sans inhiber le libre-arbitre du développeur sur tout ce qui tient des points d'interaction au sein de son application.
Le contexte n'admet pas de manquement dans une logique d'authentification, ou référence à un objet s'il n'y a aucune authentification ni objet.
Le contexte n'admet pas d'erreur dans l'implèmentation et le traitement d'un format au sein d'une base de code rarement relue de plusieurs centaines de lignes quand la logique est générée et gérée par une entité probablement encore trop avancée pour nous, disposant d'une vision omnisciente, infaillible et exécutée de façon mécanique et déterministe sur l'ensemble du contexte qu'elle gère.